Sigfrid entra, Akara eu un mélange de joie et de tristesse.
Son apprenti s'approcha du bureau et s'assit dans un des fauteuils face à lui. Ses yeux bleus brillaient de joie et d'excitation.
- A tu à réussit à faire ce que tu voulais ?
Il lui tendit un objet dans le creux de sa main. C'était une bague en argent, des runes ornée l'anneaux et un cristal d'ambre était incrustait dessus. Il reconnaissait bien là le raffinement de son protégé. Sigfrid portait exactement la même bague à sa main droite.
- L'as-tu essayé ?
- Bien sûr ! Voulez-vous voir ?
- Avec plaisir
Il lui sourit en lui rendant la bague. Le jeune homme regarda autour de lui pour trouver un endroit adéquat, il prit un des nombreux livres de la bibliothèque.
- Puis-je ?
Akara hocha la tête, impatient de voir la démonstration. Sigfrid posa le livre à la reliure verte sur le bureau. Il traça un petit cercle dessus et posa le bout des doigts dessus Immédiatement sa bague brillât, une puissante lumière blanche envahi la pièce alors que la surface de cuir du livre se déformer pour modeler un arbre en papier.
- Les runes son directement gravé sur la bague, pas besoin de les tracés et l'énergie des Léonides est cristallisé dans l'ambre,
Akara regarda avec attention la finesse des feuilles. L'œuvre avait était exécuté avec une rapidité qu'il n'avait jamais vus.
- Tu es un génie Sigfrid. Mais pourquoi avoir fait deux bagues ?
Il eut un de ses sourires naïfs qui touchait tant le cœur de l'alchimiste.
- L'autre est pour Shivane...je n'aimerais pas qu'il lui arrive qu'elle que chose. Elle est si intrépide vous savez.
Ses joues c'étaient légèrement rosit à cette annonce. Le livre que tenait l'homme tomba par terre, il savait les sentiments que son apprenti nourrissait pour l'alchimiste défunte. Jamais il ne lui pardonnerait...
- Vous allez bien ?
Il avait pris ses mains dans les siennes, fronçant les sourcils. Akara déglutit sentant son estomac se soulever.
- Le souffle rouge me cause encore du souci, marmonnât-il avec émotion.
Le jeune homme blond secoua la tête contrarié.
- Cette vermine n'aurait jamais existé. Je m'en occuperais si vous voulez une fois libre.
Le Magi se ressaisit et lui donna un papier que son apprenti examina en écarquillant les yeux.
- Pouvez-vous m'expliquer ? Etes-vous souffrant ? demanda-il avec inquiétude.
- Je dois tenir une promesse et je ne suis pas sûr d'en revenir. J'ai donc faire le nécessaire pour que cette maison ainsi que ses habitants de revienne. J'ai aussi fait pression sur le vieux décrépie qui dirige l'académie pour que tu puisses avoir ta liberté. Il est temps de vivre et de parcourir le monde.
Sigfrid s'assit dans le fauteuil légèrement tremblant.
- Je n'aurais jamais pensé que ce jour arriverais...Je peux vous accompagner si vous voulez.
- Ta place n'est plus auprès de moi.
L'alchimiste c'était levé pour mettre une main ganté rassurante sur l'épaule de son élève.
- J'ai encore besoin de vous.
Akara sourit et regarda avec tendresse le jeune homme.
- C'est faux. Tu le sais bien. Cela fait dix longues années que je veille sur toi. Tu es devenue quelqu'un de remarquable.
Ses larmes aux coins des yeux de Sigfrid en disaient long sur ses émotions. Ses yeux bleus dévisageaient son maître essayant de comprendre son geste.
- J'espère que vous reviendrais.
- Moi aussi. Veux-tu dormir ici cette nuit ? Cette maison t'appartient désormais.
Le jeune homme réfléchit un moment avant de lui répondre, il se leva décider.
-J'en serais honorait Maître.
-Apelle moi Akara.
Un sourire timide éclaira son visage. L'alchimiste le prit dans ses bras. Sa fierté pour ce jeune garçon dépassait tout ce qu'il avait pu imaginer en le prenant pour apprentis des années plus tôt. Il avait cette agréable sensation au fond de lui comme un père léguant à son fils le travail d'une vie. Sigfrid se retira doucement en le remerciant, puis il disparut dans la maison.
Akara consignant ses pensées dans son journal., il regarda la bibliothèque est nota qu'il y avait trente petits carnés comme celui sur lequel il griffonné.
Cela allait de sa famille qui avait vus vieillir et mourir...sa mère, son père, sa sœur, ses cousins vivant sans lui. Il avait décider de se tenir à distance quand il avait vu qu'au bout de quelques années il n'avait pas pris une ride. Examinant la vie de sa lignée jusqu'au sacrifice. Il avait trouvé si intolérable de partager des traits de caractères avec eux sans pouvoir leur en parler. Il était parti loin à la mort du fils de sa sœur.
Au fond de lui il avait espéré qu'un visage qu'il connaisse apparaisse lors de la transmutation. La vie en avait décider autrement.
Malheureusement pour lui sa mémoire était infaillible surement à cause du pouvoir d'Isthar. Il avait donc consigné pas mal de choses si jamais une fois Isthar partit sa mémoire lui ferait défaut.
Tu à toujours était d'une extrême prévoyance.
-J'ai plutôt l'impression que tu à déteint sur moi pour ça.
La voix dans sa tête émit un petit rire.
J'ai eu bien des enfants spirituels, mais Sigfrid est vraiment remarquable. Il à une finesse d'esprit peux commune.
De nouveau la sensation de fierté envahi Akara alors qu'il s'assit confortablement dans son fauteuil laissant les souvenirs du passé défiler devant ses yeux. Il avait brûlé ses notes sur la pierre de peur qu'il ne tombe encore sur des mains tachées de sang. Cela lui avait pris un temps considérable afin de créer le corps de la pierre et sans Shivane il n'aurait jamais réussi à y insuffler une âme. Elle aussi avait la force d'un Dieu créer par la Lumière qui coulait dans son sang.
Nous avons vu de nombreuses fois de quoi son capable les grandes forces de ce monde, cependant je n'arrive toujours pas à comprendre ses forces. Était-ce les desseins de la Lumière et des Ténèbres de faire sacrifier ton peuple ? Shivane ? De faire s'éteindre mes frères et sœurs les uns après les autres ?
-Tu dis ça parce que tu es un fils du Chaos. Le bien et le mal te son étranger seul tes désirs comptes.
Mes aspirations sont franches et nettes. Je désirais le bien de ceux qui croyait en moi et la mort de ceux qui leurs voulait du mal.
Akara étouffa un rire, sa bienveillance pouvait passer pour une dictature aux yeux de certains. Lui, le connaissait trop bien pour savoir qu'il n'avait aucune malveillance.
L'alchimiste reprit le fils de ses pensées sur ce fameux moment, quand il avait imposé sa volonté au cercle dans la pyramide. Il avait eu beau se concentrer sur les Magis de toutes ses forces la vie n'avait choisi elle-même qui elle avait voulu lui redonner. Bien des échecs d'alchimistes étaient dû à ses caprices.
Mais bien vite l'image de Shivane se transformant en cristaux remplaçant le reste.
Sigfrid te pardonnera. Tu lui es trop précieux.
- Personne ne peut pardonner çà.
Ça voix avait repris se tranchant amère. Lui-même porterait se péché jusqu'à la fin
VOUS LISEZ
Le Cercle d'Or
AventuraAlors que Shivane Rakshaka visite une ancienne ruine et trouve un étrange artefact. Elle se retrouve à sauver une jeune fille membre du culte de la Lumière. Leur destin semble lié. Persuadée de l'absurdité de la chose elle essaie en vain d'oublier l...