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Le ciel était voilé,
Les oiseaux dansaient,

Les enfants étaient allongés
Et riaient,

Ils étaient sages,
Et observaient les nuages,

En imaginaient des histoires,
Qu'ils écriront plus tard dans un grimoire,

Les secondes s'écoulaient,
Et le temps changeait,

Laissant place au soleil,
Qui rayonnait de mille merveilles,

Le doux chant des oiseaux,
Parvenait à nos oreilles comme un son si beau,

Et à cet instant précis,
Il n'y avait que cette mélodie,

Qui comptait plus que tout au monde,
Car même si on apprenait que la terre n'était pas ronde,

Cela n'avait pas d'importance,
Car il y avait cette bienveillance,

Où régnait le monde de l'enfance,
Où tout est confiance et innocence,

Et c'est ce qui fait que cette époque est sublime,
Où il n'y a aucune victime,

Seulement des gens sauvés,
Et non des personnes brisées.

***

Voilà le 10ème poème !

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Poésie et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant