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Je t'ai longtemps observé,
Durant tout cet été,
Tes cheveux dorés,
Tu riais,

Je n'ai pas eu la force de venir te parler,
Ni même te faire un signe,
Car j'avais faux sur tout la ligne,
Tu étais émerveillée de ce sentiment liberté,

Pour toi c'est tout ce qui comptait,
Et si j'étais venu te rencontrer,
Je t'en privais,
Donc je reste donc mon coin à te contempler,

En m'imaginant ce qui aurait pu se passer,
Si tout cela était un rêve,
Et que nous étions à Genève,
En train d'échanger,

Et de déballer nos vies,
Toute la nuit,
Avec nos envies,
Qui nous tiennent compagnie,

Mais tout cela n'est que le fruit de mon imagination,
Tout cela n'est qu'une illusion,
Et je sais que je continuerai de rêver,
Car je ne peux que continuer d'espérer,

D'un jour avoir une conversation avec toi,
Rien qu'une seule fois,
Pour écouter le son de ta voix,
Et la graver dans ma mémoire pour me souvenir de ce qu'est la joie.

***

Voilà le 20ème texte !

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