Ch 10 : Je Te Le Promet

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Comme dit dans la conclusion du chapitre précédant, j'ai dû décomposer la nuit toride de Dabi et Izuku en deux partie, sinon le chapitre allait être trop long.

Voici donc la seconde partie, en espérant que vous apprécierez !!

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Pdv Externe :

Izuku : J'attends que ça ~bébé~ !

Le petit avait dit ça d'une voix languissante tout en glissant doucement ses mains sous le tee-shirt du plus grand, afin de le lui enlever.
S'en était trop pour Dabi, il était à bout.
Une fois le vêtement retiré, le vert ne compri pas tout de suite comment il s'était retrouvé face contre le matelas. Le brun avait bougé tellement rapidement qu'il n'avait pu réagir.

Le visage et le torse maintenus contre le matelas par une grande main, les fesses d'Izuku avait été relevé par la seconde main de son partenaire, le faisant se cambrer.

Dabi vint alors coller son bassin ainsi que son érection aux fesses du petit vert. Il se pencha sur le dos de celui-ci et lui murmura à l'oreille :

Dabi : Reste dans cette position, écarte les jambes et détends toi, ce sera plus supportable comme ça !

Izuku : Mmmhh... Acquiesça le jeune garçon tout en suivant les ordres du plus grand.

Dabi retira entièrement son pantalon et son caleçon avec la main qui maintenait jusqu'ici les bassin de son compagnon. Il fit ensuite glisser sa main gauche du haut du dos d'Izuku jusqu'à sa hanche qu'il agrippa fermement. Il prit son membre de sa main droite et le présenta à l'entrée de l'anus du buisson. Mais il n'entra pas tout de suite, attendant l'approbation du plus petit. Les mouvements de hanche et les gémissements de celui-ci lui indiqua qu'il avait la permission.

Le brun s'enfonça alors d'un coup jusqu'à l'aine, ce qui arracha un cri de douleur et de plaisir mélangé à Izuku. Le dominant ne bougea pas, le temps que son soumi s'habitue à ce nouveau corps qui était en lui.

Une fois la douleur passée, le vert attrapa le poignet de la main qui lui tenait la hanche gauche, haletant.

Izuku : Dabi... C'est... Bon... Tu peux... Bouger!

Ces mots augmentèrent le désir intense que Dabi ressentait pour Izuku. Il n'était plus maître de son corps. Ses mains chaffèrent sous l'influence de son Alter, mais pas assez pour brûler la peau du plus petit. Une chaleur intense et agréable envahissant le bas du dos du le jeune alors que le plus grand commençait ses va et vient à l'intérieur de lui.

Grognements et gémissements des deux partenaires se mélangèrent, créant une mélodie rempli de désir, de plaisir et de luxure.

En pleine extase, Izuku se redressa sur ses genoux, collant son dos au torse de son compagnon, glissa une de ses mains sur sa nuque et, de son autre main, ramena un des bras de son amant devant lui pour éviter de tombe en avant. Il tourna la tête sur le côté et chercha les lèvres de Dabi qu'il trouva presque immédiatement. Leurs langues dansaient ensemble dans une valse rempli désir. A bout de souffle, ils brisèrent le contact de leurs bouches.

Izuku : Dabi... Je veux mmh... Te regarder... Te voir aahh... Pendant que... Tu jouis en moi ! Réussi-t-il a dire entre gémissements et soupirs de plaisir.

Dabi : A vos ordres, votre altesse...

Dabi se retira d'Izuku, leur arrachant à tous les deux un grognements de frustration de devoir, même pour un court instant, rompre leur contact charnel.

Le brun s'assit un tailleur pendant que le vert se retournait pour lui faire face. Il monta ensuite à califourchon sur son dominant, les mains sur les épaules de celui-ci.
Le brûlé repositionna son membre devant l'entrée du jeune garçon et fit une légère pression sur le haut de sa cuisse pour l'inciter à s'asseoir sur lui.

Une fois entièrement en lui, les deux amants se retienrent de jouir instantanément.

Dabi : Putain... Izu... J'ai bien failli jouir à l'instant... Tu t'es resserré tellement fort d'un coup... Ton cul est tellement bon !!! Grogne-t-il dans le cou de son Izu.

Izuku : Ahh... Moi aussi... C'est tellement profond... Ta bite est tellement grosse... Trop bon ! Souffla-t-il en resserrant ses bras autour de son beau brun.

Ils avaient arrêté tout mouvement pendant qu'il parlaient, d'adaptant l'un à l'autre. Puis, Izuku commença de petites rotation avec son bassin, faisant pousser à Dabi un long gémissement. Ce dernier attrapa les fesses du premier et entama de violent coup de reins, afin de le pénétrer encore plus profondément qu'il n'était déjà allé dans son partenaire. Il cherchait un point précis, le point le plus sensible chez le jeune garçon. Et il ne tarda pas à le trouver.

Izuku sentait le pénis de son dominant taper dans sa prostate. Sa petite boule de nerf stimulée, il poussa des cris des plaisir de plus en plus fort.

Izuku : Dab-i... Ah... Je v-... Vi-...

Le plaisir était tellement intense qu'il ne réussi même pas à finir un mot, mais le brun l'avait tout de même comprit.

Dabi : Oui... Moi aussi !

Izuku : Ah... Dabi... Je t'aime !!!

Dabi : Je t'aime aussi... Mon Izu !!

Puis, dans une dernière pénétration, ils vinrent tout les deux, criant le nom de l'un l'autre, dans une jouissance partagée.

La semence de Dabi remplissait le trou d'Izuku, et celle d'Izuku avait été projeté sur l'abdomen de Dabi.

Ils restèrent dans leur position de jouissance le temps de reprendre leur souffle. Dabi souleva son amant afin de se retirer de lui, ce qui fit un instant grimacer de douleur le plus jeune.

Voyant que son partenaire était exténué de leurs ébats et qu'ils étaient tous les deux poisseux de sueur et de leur semence mutuel, Dabi prit Izuku dans ses bras, un dans son dos et l'autre sous ses genoux, et l'enmena dans la salle de bain.

Pendant le court trajet du lit à la salle de bain, le petit vert, à moitié somnolent, posa sa main sur la joue de son amant, ce qui le stoppa un instant.

Izuku : Dabi, promet moi que tu me gardera à tes côtés pour toujours. Promet moi que tu ne me quittera jamais. Implora-t-il, les larmes aux yeux.

Dabi, triste de voir l'homme qu'il aime dans une telle détresse, répondit en l'embrassant tendrement :

Dabi : Je te le promet Izu ! Je ne te quitterais jamais. Même si un jour tu décidais de te séparer de moi, je te poursuivrai toujours. Tu es mien ! Personne ne te prendra à moi. Et je suis tien, et ce pour le reste de ma vie ! Je te le promet !!!

Ils s'embrassèrent à nouveau, dans un  baisé plein de détresse et d'amour. Puis ils reprirent le chemin de la douche.

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Bon, à vrai dire, ce chapitre et le chapitre m'ont donné un peu de mal, car j'essayais d'éviter un maximum les redondances, surtout lors de la nomination des personnages.

Malgré cela, je suis assez contente de ces chapitres.

J'attends vos retours avec impatiente !!

Vous ? Des héros ? Laissez moi rire !! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant