Un océan.
Un océan.
Un océan très peu agité.
Où le soleil brille à volonté.
Les vagues dansant pleines de bonté.
Puis vint une légère brisé de vent.
Des vagues s'agitent doucement.
A l'horizon des nuages avancent lentement.
Le cyclone arrivant.À mesure que la tempête approchait,
Les vagues grandissaient.
Le soleil disparaissait.
Les premières gouttes tombaient.Le ciel était devenu noir.
On entendait déjà le tonnerre.
Gronder non-loin des terres.
Ce cri n'était pas dérisoire.Une première déchirure.
Elle fut brusque et inattendue.
Découpant ce nuage nu.
Aussi vive qu'une brûlure.Poème daté au 18 mars 2018
(Tous les poèmes datés de la date ci-dessus ont été écrits bien avant.)
Enfin un poème qui ressemble à quelque chose ! Certes, il n'est clairement pas parfait mais de loin, dans le noir et en étant aveugle on pourrait penser qu'avec sa forme on peut obtenir quelque chose semblable à un beau poème bien formé et très recherché. Hélas non, ça viendra ! (notez que j'avais fait l'effort des rimes)
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Poèmes, Et peau déteste.
PoesíaRecueil de poèmes que j'ai écris il y a parfois longtemps, que je déteste parfois, postés souvent dans le désordre le plus total. Les formes "traditionnelles" de poèmes sont très rarement respectées mais que j'aime et qui malgré tout, restent une pa...