Vacarme de la ville
Dans ces villes infernales ou l'existence est impure.
Les grandes tours humiliées hurlent à travers la tempête incessante.
Les cathédrales voûtées sont bien plus droites que la vertu.
Et ces lacs gelés sont semblables à nos coeurs endormis.
Et où les lieux parsemés de tombeaux sont d'une indéniable attraction.
Ces spectres paraissent bien plus sympathiques que les vantards humains.
Cette fureur énergumène de l'Homme est semblable à l'océan déchaîné.
Les arbres fiévreux en fleurs,
Sont inexorablement plus grands que l'Homme.
Dans ces villes chaotiques,
La sombre brume embaume les coeurs,
Les amours sont semblables à des bocaux emplits de vide.
Où les plaisirs futiles de la vie se rapportent à l'égoïsme.
Et où les cris oubliés se perdent dans le vacarme incessant de la vie.
Poème écrit le 22 avril 2018.
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Poèmes, Et peau déteste.
PoesiaRecueil de poèmes que j'ai écris il y a parfois longtemps, que je déteste parfois, postés souvent dans le désordre le plus total. Les formes "traditionnelles" de poèmes sont très rarement respectées mais que j'aime et qui malgré tout, restent une pa...
