La villa que la brune avait réservé avait été facile à trouver, en effet il n'y avait pas beaucoup de maison seule, un peu reculée et au bord de la mer et surtout aussi grande. La blonde expliqua à la californienne que cette maison attirerait le curiosité des visiteurs. Les habitants et voisins avaient été un temps curieux eux aussi mais c'étaient bien vite habitués. De plus les gens qui habitaient dedans étaient charmant de ce qu'on disait.Il avait fallu traverser un grand portail vert sapin surplombé de pique en or déjà ouvert. Le soleil qui avait commencé à se lever laissait apparaître l'allée principale qui menait au bâtiment celle-ci était entourée de pelouse verte, l'air embaumer l'herbe fraîchement coupée que la jeune Luthor de délecta d'humer à plein poumons. C'était une des ses odeurs que les gens trouvaient étranges que la brune ne pouvait s'empêcher d'aimer. L'air de la ville lui avait fait oublié l'air pur des campagnes, cette bouffée de vent frais remplie son être lui apportant une certaine sérénité. La brune ne savait pas si cette sensation venait de l'air ou de l'endroit. Entre le gazon impeccable et la diversité florale de la place se dégageait un confort et un calme que la brune ne pensait ressentir avant.
La prof se gara devant la bâtisse et sorti de la voiture suivit de près par la brune. Cette dernière fit face à l'immense villa et fut émerveillé en la voyant. Les façades de la maison étaient en pierres dorées qui avaient l'air d'avoir étaient refaites récemment. Des volets bleus étaient éparpillés à plusieurs endroit et la porte était de la même couleur et du liège avait élu domicile au dessus donnant un côté charmant à la maison. Le toit était en ardoises grises contrastant avec les façades et les volets mais rendant le tout agréable.
La blonde fit entrer son invité dans la maison. La luthor était bien trop émerveillé pour se demander comment la blonde avait eut les clés. L'intérieur était tout aussi magnifique mais la brune ne put en profiter que sa voisine lui tirait le bras pour lui faire monter un étage. La californienne suivit sans rien demander observant chaque pièce et endroit qui apparaissait sous ses yeux. Les deux jeunes femmes arrivèrent devant une porte rouge que la blonde ouvrit aussitôt. La brune pénétra dans la pièce pour rejoindre Kennedy, elle se posta au milieux de la pièce et regarda, admira chaque objets et chaque parcelle d'espaces que ses yeux pouvaient couvrir.
Ce que la brune apprécia fut la vue qui s'offrait à elle. De grandes baies vitrées impeccablement nettoyé même tellement qu'on aurait pu penser qu'il n'y en avait pas si les contours noirs de la vitres n'étaient pas présents. Cela dit elle était trop fatiguée pour s'émerveille encore, elle voulait juste se coucher et s'endormir profondément. Elle se tourna alors vers la blonde et la regarda suspicieusement. Cette dernière sourit timidement, la brune sortit enfin de sa contemplation et de sa léthargie puis demanda:
- Comment cela ce fait-il que vous ayez les clés? Surtout pourquoi nous sommes dedans? J'avais lu qu'il fallait attendre le propriétaire... un certain.. Stanislas Danvers. S'enquit la brune sans pouvoir s'empêcher d'observer plus attentivement la blonde puisque la lumière le permettait.
- Hum... je suis Kennedy Danvers. Stanislas était mon grand-père. Répondit la blonde s'empêchant de rire en voyant la mine mi fatiguée mi choqué de la brune. Cette dernière tenta de garder la face mais échoua lamentablement quand un « Aaaah » de compréhension sortit d'entre ses lèvres. Elle regarda alors la blonde et lui sourit gêné de son comportement s'attendant à une remarque mais rien ne vint, elle sourit franchement se rappelant qu'elle n'était plus en représentation devant des personnes plein au as ou devant sa mère qui aurait évidement dit quelque chose. Ici, elle n'était pas obligé d'être une Luthor et avoir un comportement irréprochable. Elle pouvait juste être Lorena et elle pouvait ne pas avoir compris que la blonde était là propriétaire de la maison.
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De l'Autre Côté de l'Océan
RomanceUn clic et la voilà partit pour elle ne sait combien de temps de l'autre côté de l'océan. AU Supercorp