C'est comme un chant de bienveillance
Un vers ou deux presque finis
C'est comme un plongeur qui se lance
Les yeux fermés dans l'infiniL'adrénaline ouvre la porte
Et me demande s'il fait bien nuit
Je lui réponds que le vent porte
Le silence de mon insomnieTiendrai-je encore jusqu'à l'aurore
Ou est-ce donc enfin fini?
Et l'air du soir qui s'évapore
Laisse une trace noire d'ennui
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𝙻𝚊 𝚏𝚒𝚗 𝚍𝚞 𝚖𝚘𝚗𝚍𝚎 𝕖𝕥 𝕡𝕝𝕦𝕤 𝕖𝕟𝕔𝕠𝕣𝕖 (Mes Sapristis 2)
PoesíaJe me suis dit qu'avec quarante-six parties, j'avais fait un bon bout de chemin. Ça doit maintenant faire deux ou trois ans que j'ai commencé à publier mes poèmes, mes pensées, mes réflexions. En relisant mon dernier poème, je n'ai plus ressenti le...