Onmarche ensemble dans la rue nord ou on doit coller des affichagescontre les murs. Owen et Justine s'occupe de les coller et Cédricet moi on vérifie les alentours. Je regarde ma montre ça va fairebientôt 30 minutes qu'on fait ça il est 14h27. Mon talki walkigrésille et je le prends dans mes mains pour écouter.
-Groupe1 ici Groupe 3. Nous venons tout juste de croiser une dizaine demilitaires et de robots se diriger vers votre secteur.
-Bienreçu
On seregarde mais des balles nous font sursauter.
-Onlaisse nos affaires ici on se divise en deux. Je pends Owen avec moiet toi Justine part avec Cédric. On se retrouve à l'entrepôt deFrançois.
Toutle monde acquise. Cet entrepôt était de l'autre coté de laville. Tout les deux on se mit à courir dans la ruelle de droite.Dans la pénombre des rues seulement nos souffles font échos.
-Prochaineà droite puis à gauche. Lui dis-je
Jem'arrête et le laisse courir, je fouille dans mes poches et trouveune grenade et la lance sur les gardes qui nous suivent. L'explosionde la grenade me fait perdre l'équilibre et je perd de vue Owen. Lapanique me prend et je commence à faire une crise d'angoisse. Nonpourquoi ça recommence pas lui j'espère qu'il ne sais pas faitprendre je m'en voudrais encore plus. Je m'adosse au mur etarrive plus à respirer correctement. Lorsque je ferme les yeux unemain prend mon bras et m'attire en arrière et on mit une main surma bouche pour ne pas que je cris. Je respire alors plus lourdementc'est bon c'est fini pour moi. J'étais collé à quelque chosede dur et chaud et un souffle me provient aux oreilles et je frémis.
-Chutcalme toi c'est Owen, reprend ton souffle tout doucement, oui commeça. On ferra attention quand on sortira mes il y a des drones quisurveilles nos quartiers.
Je mecalme immédiatement, j'ai l'impression d'être protégéainsi. Son odeur est tellement apaisante et tellement... Mais qu'estce que je dis ressaisi toi. Je me dégage de lui et surveille lesalentours. Je lui fais signe qu'il n'y a personne. Je prends letalki walki.
-QGici Groupe 1 on va dormir chez François.
-Bienreçu.
Ontrouve des toilettes publiques et on se change normalement enenlèvent nos combinaisons noirs ou est dissimulés une tenuenormale. Pendant le trajet ni lui ni moi parlait.
-Onest arrivée tu veux bien surveiller les alentours s'il te plaîtOwen.
Il setourne et j'enclenche l'ouverture de cet entrepôt via mesempreintes digitales. Je pousse la porte. Et on entre dedans. Il estgaré des blindées dans l'entrepôt ainsi que des armes mis dansdes placards. Je me dirige vers la petite kitchenette et y trouve despâtes toute prête pour nous C'est vrai qu'il est tard ilcommence déjà à faire nuit. Je me sers accompagnés d'Owen quin'a toujours pas parlé depuis ma crise. Épuisés on monte toutles deux sur la mezzanine, des cris de chamaillerie se font entendre.Arrivée une fois en haut on voit Cédric qui chatouille Justine.
-Maisarrête s'il te plaît j'en peux plus. Dit Justine à bout desouffle
- Jepeux plus manger tranquillement ? Alors que je m'assoie enface d'eux sur un lit.
Ilssursautent tout les deux. Je rigole ainsi que Owen.
-Vousavez pris beaucoup de temps à venir. Dit Cédric en s'allongentsur le lit.
-Onnous lâchait pas la grappe. Dis-je en baillant
-Je medemande en tout cas comment ils ont fait pour savoir qu'on étaitlà. Dit Owen en rangeant nos couverts dans la cuisine.
-NormalementBrendan devait trouver la taupe car ça fait un moment qu'on nousdevance et Yvi lui dit tout les jours de se dépêcher mais il enfait qu'a sa tête. Jura Justine
Ilscontinuent de parler et je m'endors. Mais durant mon sommeil jefais un cauchemar et quelqu'un me prend dans ces bras et merassure. Je retombe dans les bras de Morphée. J'ouvre mes yeuxpetit à petit. Il fait chaud ici. La lumière agresse mes yeux. Jevois que je suis dans les bras d'Owen c'est pour ça que j'aieu chaud toute la nuit mais attendez qu'est ce qu'il fou laenfaîte. Je me lève vite du lit il est 8h. Donc c'est lui qui m'aaidé, mais pourquoi fait-il ça ?
-QGici Groupe 1 venez chez François, nous sommes quatre.
-Bienreçu on est la dans 10 minutes.
Lestrois autres marmottes ce sont enfin levés. Je suis de bonne humeur aujourd'hui c'est très rare et un sourire niais se forme aubords me lèvre. Deux 4x4 arrive. Une fois à la base chacun part sedétendre dans sa chambre mais pour ma part il faut absolument que jevois mon oncle. Assise en face de lui il me fixe, attendant sûrementce que je vais lui dire.
-C'estpas normale ce qui c'est passé. Ils ont su ou on était !
Thierrycontinuait à me fixer et ne disait rien. Il savait que ce n'étaitpas ça le réelle problème de ma venue.
- Çacommence à m'énerver tout ça, on fait rien mais vraiment rien.Pourquoi tu dit rien toit aussi, je sais pas fait quelque chose !
Énervéc'est le thermes exacte de mon état actuelle.
-Nonon s'en charge déjà, toi par contre tu détourne le sujet...
- Lescrises d'angoisse sont revenue. Chuchotai-je.
- Ilva falloir que tu en parle à quelqu'un de cet accident. Il date de 2ans maintenant. Tu y est pour rien. Dit mon oncle en se redressentsur son siège.
- Sije les aient tué, je l'ai tuée... J'avais le choix se jour là, jeme suis trompé.
- Nonils avaient confiance en toi et ils étaient condamnés. Tu les aientsauvé d'une souffrance éternelle .
Perdudans mes pensées je pars pour me laver tranquillement. Je travaildans 1h il va falloir y aller. Habillé d'un tailleur gris et de mesescarpins noir. Je traverse le couloir et monte pour me retrouverdehors. Aujourd'hui on est Lundi et pratiquement tout le monde est autravail. Ma montre m'indiquait 9h50 quand j'arrive devant cebuilding de 50 étages. Tout en verre, il est imposant et me cache dusoleil. Je passe ma carte digitale pour ouvrir les portes de lasociété. Le luxe de l'intérieur montrait la richesse de NF 1 laplus grande chaîne de télé du monde.
-Yvi !
Jetourne ma tête et tombe sur Miranda qui s'occupe de l'accueil.
-Tu asune réunion avec Monsieur Fradin dans 10 minutes.
-Mercibeaucoup Miranda.
Jesuis journaliste dans la boîte NF 1. Des fois je passe à la télépour expliquer les situations et surtout je cherche des informationsutile pour « freedom » (nom du groupe de la rébellion)et surtout j'aime travailler en solitaire.
L'ascenseurm'emmène jusqu'au dernier étage ou se trouve le bureau de monpatron. Lorsqu'il me dit d'entrée j'ouvre la porte et MonsieurFradin ce lève et viens me serrer la main. Polis et souriante je luidit.
-Bonjourmonsieur Fradin qu'elle beau vent me mène à ce rendez-vous matinaledans votre bureau ?
-Bonjourmademoiselle Yvi. Nous venons de recruter un journaliste. Il vient dela ville voisine.
-Pourtantje croyais que je travaillerai toujours seul.
-Ouimais cette personne est exceptionnelle et vos idées à tout les deuxse compléterons. Mais de toute façon vous n'avez pas le choix.
MonPatron me fixait avec m'épris. Je ne voulais personne dans mespattes. Ça va être difficile.
-Jevois je n'ai pas le chois alors...
Onvient de frapper à la porte me coupant dans mes explications.
-Tiensc'est lui, ENTRÉE !
Jetourne ma tête vers la porte et lorsque je vois qui est je reste béadevant cette personne et me demande si c'est un rêve.
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Unique
AcciónLa dictature fait des ravages. Eux ils sont la rébellion. Mais vont-il réussir ? La rencontre de Yvi et Owen va t-elle nous emmener à la victoire? Dans un monde contrôlé par des robots, un groupe de rébellion va tout faire pour redonner la libert...