𝖁𝖎𝖓𝖌𝖙 𝖓𝖊𝖚𝖋

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                          DUNIYAH

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                          DUNIYAH

Quelques semaines plus tard...

J'venais tout juste, de sortir des cours avec les résultats de mon bac en mains. HEHEHEHEH VOTRE BACHELIÈRE EST LA ! J'suis tellement heureuse ! Je crois que depuis un an maintenant, c'est la seul bonne nouvelle que j'ai pu recevoir.

C'était le début de pleins de nouvelles choses pour moi, j'allais enfin pouvoir passer mes concours, et par la suite, peut être même pouvoir travailler pour de bon, et avoir mon propre salaires.

Et le meilleur dans tout ça, c'est que je l'est eu avec mention bien. Alalala sah, quel plaisir. J'me suis empresser de courir à la villa, et prévenir tout le reste. Bien évidemment ils étaient tous trop fière de moi, surtout Sahir. Il me disait qu'il était content pour moi, et que maintenant j'étais devenue quelqu'un.

Ça me faisais trop plaisir de le voir heureux pour moi, une relation ou l'homme n'est pas aux coter de sa bien aimer,pour la soutenir, ou pour même la féliciter. C'est nul, nul, et re nul !

Imrân - Cava avoir le permis et conduire jusqu'à pas d'heure dans les bois de Boulogne.

Moi - En le tshekan on sait compris.

Sahir - N'y pense même pas toi.

Imrân - Oh tonton toi aussi, laisse la profiter un peu. Moi je dis ce soir on va au restaurant après on finit la nuit en beauté en boîte de nuit  Duniyah.

Moi - Si c'est toi qui paye, moi ça me va.

Imrân - Bien sûr que c'est moi qui paye.

Moi - Vas-y, dis moi quand, est où, et c'est carré.

Imrân - À...

Sahir - En lui coupant la paroles j'crois que ta pas compris, quand j'te disais de ne même pas y penser. Tu kiff me pousser à bout toi.

Moi - Rires c'est bon toi, on rigole en lui tirant les joues.

L'embêter ? Ma passion, j'me demande même comment il fait pour me supporter tellement je suis chiante avec lui.

Après que je lui est tirer les joues, il m'a foutu un chasser. Ce qui fait que je suis tomber au sol comme une merde, alors je me suis mise à courir derrière lui pour le rattraper et me venger.

Il courait hyper vite ce batard, ça faisait même pas deux minutes que je courais après lui que j'étais déjà essouffler comme j'sais pas quoi. Le cardio est moi, on est pas du tout amis. Mais vraiment.

Moi - En m'arrêtant de courir toute essouffler j'abandonne.

Sahir - Rires ah gars, ta pas dis tu peux ?

Duniyah - Coeur sous cellophane Où les histoires vivent. Découvrez maintenant