𝖁𝖎𝖓𝖌𝖙 𝖘𝖎𝖝

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                                DUNIYAH

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                                DUNIYAH

Quelques semaines plus tard...

Alors que je venais tout juste d'enfiler mes vêtements, j'étais entrain de ranger mes affaires dans mon sac. Aujourd'hui je pouvais enfin sortir de l'hôpital après avoir passer plusieurs semaines confiner ici. J'étais tellement contente, j'avais l'impression de revivre gueh.

J'ai boucler mon sac, en attendant que Sahir vienne me récupérer. Mais au même moment, une enveloppe ou mon prénom y était inscrit dessus, à glisser dans le petit troue de la porte. J'ai froncer les sourcils d'incompréhension, avant de me lever de mon lit pour me diriger jusqu'à celle-ci.

En ouvrant la porte d'entrer de ma chambre, il n'y avait personne dans les environs. Juste quelques familles en salle d'attente, et les infirmiers qui couraient dans tout les sens. En gros, il n'y avait personne qui puisse attirer mon attention.

J'ai fermer la porte derrière moi, avant de m'abaisser pour prendre l'enveloppe et m'installer confortablement sur mon lit pour y vérifier le contenue.

Il y'avait des photos de Sahir,Imrân, et Isham avec une croix rouge sur leur têtes. Mon cœur c'est mit à battre à fond, tandis qu'un écrit se trouvait tout juste derrière ces photos.

« J'te laisse tout le temps qu'il te faut pour trouver Sylla, et me la donner. Au cas où tu déciderais de me désobéir, en plus de perdre ces trois hommes en qui tu tient tant. Tu auras aussi leur morts sur ta conscience. Réfléchit bien, et bonne chance Duniyah.»

Après ce que je venait de lire, mes jambes se sont automatiquement mises à trembler toutes seules. J'avais peur tout d'un coup, très peur...dans tout les cas je suis mal barrer.

Moi ? Avoir la mort de Imrân, Isham, et Sahir sur ma conscience ? Jamais de la vie, c'est impossible. Dans la vie il y'a toujours une solution à tout, mais là. Il n'y en a pas...

Vous devez sûrement vous dire, pourquoi je ne dis pas toute la vérité aux garçons. Puisque maintenant on s'entend bien avec eux ect...eh bah tout simplement, c'est parce que je ne peux pas. Ah quoi bon ? Dans tout les cas, à partir du moment où j'ai mis les pieds ici. J'étais déjà destiner à leur mentir, et quand ils seront que je suis ici pour venir venger mon frère Yazir paix à son âme. Ils vont aussi me prendre comme une ennemie, et s'en prendre à moi. Alors je préfère ne rien dire, et rester dans mon coin en faisant ce que j'ai à faire.

Toujours les yeux river sur cet enveloppe, en tenant les photos de Sahir,Isham, et Imrân en mains. La porte de ma chambre c'est ouverte sur Sahir. J'ai directement cacher ce que j'avais dans les mains au fond de mon sac, avant qu'il ne se diriger vers moi pour me faire un bisous sur le front.

Sahir - Cava toi ?

Moi - Oui et toi ?

Sahir - Oklm cava, tu faisais quoi avant que j'arrive ?

Duniyah - Coeur sous cellophane Où les histoires vivent. Découvrez maintenant