Je n'ai pas d'idée de base, je me lance dans l'inconnu, mdrr, j'espère arriver à un truc pas trop dégueu et que ça vous plaira. Bonne lecture !
PDV Azenet :
Une douleur, puissante, déchirante, presque insupportable. Voilà ce que mon cœur me fait ressentir. C'est cette image qui brûle mon esprit depuis une semaine qui me détruit, certaines personnes, pourraient me dire de ne pas me pourrir l'esprit pour un simple baisé lors d'une soirée alcoolisée. Mais la personne aillant embrassé l'homme de mes rêves, n'est autre que celle à qui je me confiais. Il avait connaissance de l'amour indescriptible que je porte à mon meilleur ami. Nems m'a trahit, de la pire des manières, s'attaquant à mon plus gros point faible. Jamais je ne pourrais lui pardonner, il savait à quel point accorder ma confiance à quelqu'un est très dur pour moi.
Encore une journée, sans avoir la force de sortir de ma chambre même pour me nourrir, j'aurai trop peur de le croiser dans un couloir, malgré que je vive dans un grand manoir, de plus je n'ai pas très faim.
Mes larmes coulent encore, sur mes joues abîmées, mes cernes témoignent de mes nuits blanches imaginant Aymeric et le roi des tardos vivre leur idylle. Certains de mes amis, notamment Fukano ont tenté de sortir de cette tristesse qui emprisonne mon esprit. Sans succès.
Toc ! Toc !
Un bruit venant de ma porte me sortit de ma torpeur, sans trop réfléchir, je me dirige vers ma porte pour l'ouvrir. Avant que je ne puisse la refermer, une furie entra dans ma chambre, celle-ci n'était autre qu'Aypierre avec dans les bras un plateau rempli de nourriture. Je tente alors de me diriger vers la porte pour m'enfuir.
Aypierre : Ne sort surtout pas de là Aze !
Son ton ferme et légèrement en colère me fait abandonner toutes tentatives de fuites. Sa voix, déjà une semaine que je ne l'avais pas entendu, elle m'a manqué. Je n'ose pas relever mon regard vers lui, trop honteux de le fuir ainsi alors qu'il n'en connait surement pas la raison. Mais une main le fait à ma place, je n'ai donc d'autres choix que de croiser ses deux orbites couleurs océans, qui me fascinent à chaque instant. La proximité entre nos deux visages ainsi que nos deux corps, provoque des rougeurs incontrôlables sur mes joues. En découvrant mes cernes, son regard s'assombrit et un sourire triste pris place sur ses lèvres.
Aypierre : Assis-toi sur ton lit, mange puis tu m'expliqueras ce qu'il se passe dans ta petite tête. D'accord ? De toute façon tu n'as pas le choix.
A contrecœur, j'attaque le plat de pâtes carbo. Je n'ai pas envie de lui expliquer et puis comment le pourrais-je sans lui avouer mon amour, qui n'est évidemment pas réciproque.
Aypierre : Tu peux tout m'avouer, je tiens beaucoup trop à toi pour te juger sur quoique ce soit.
Moi : Quitte à parler de confiance autant inviter ton amoureux, Nems.
Aypierre : Oh je vois..., tu sais depuis cette soirée Nems et moi ne nous parlons plus vraiment. De plus ce n'est pas lui que j'aime.
Il n'est pas avec Nems certes mais il vient d'achever mon petit cœur fragile une bonne fois pour toute, Il ne m'aime pas et je n'ai plus aucune chance de le séduire. Mes larmes rejoignent une nouvelle fois mes yeux, je ne veux pas qu'il me voit comme ça.
Moi : Sort, je t'en supplie sort, ne me blesse pas plus.
Aypierre : Aze, fait un effort. J'essaie de te dire quelque chose d'important. Oh non s'il te plait ne pleure pas. Tu es tellement plus beau quand tu souris.
A ces mots, un espoir vint réchauffer mon cœur. Il me prend alors doucement dans ses bras et essuie mes larmes.
Moi : Pourquoi il t'a embrassé ?
Aypierre : Pour rendre jaloux Bboy. Ce n'était pas du tout une bonne idée et je n'étais pas au courant, mais ça a marché. Ils sont ensembles. Et puis tu sais, il avait beaucoup bu, Il ne voulait pas faire de mal à qui que ce soit.
Moi : Ce qui est fait est fait. Les erreurs ne s'effacent pas en un claquement de doigts.
Je pose le plateau à côté de moi. Quand pour la deuxième fois de la journée ma porte s'ouvrit en claquant. Fuka apparu et s'exclama sans prendre le temps de remarquer la présence de Pierre.
Fukano : Aze ! Aypierre est au courant ! Nems lui a dit !
Tout à coup Fuka réalisa la présence du concerné tandis que je me mis à paniquer. Si je croise cet énorme tardos, je lui refais la face, malgré que ce soit impossible avec mon corps tout faible.
(Comme le mien mdrr)
Aypierre : Merci de l'information Thomas, moi qui pensais y aller en douceur pour avouer ce que je ressens à Baptiste.
Après avoir prononcé cette phrase, il prit ma tête en coupe avant de déposer ses lèvres sur les miennes. La porte de ma chambre se referma signe que mon ami aux oreilles d'arcanin était sorti, surement pour rejoindre Zera et nous laisser seuls. Rapidement, Aymeric se sépara de moi un sourire aux lèvres. C'était un rêve éveillé, cette scène surréaliste venait réellement de se produire ?
Aypierre : Je t'aime Aze et je ne veux plus jamais que tu souffres par ma faute.
Je ne pris pas la peine de lui répondre et embrassa directement ses lèvres si douces. Cette journée qui était censée se passer encore une fois dans la douleur, se finit dans un bonheur pur, blottit dans les bras de mon amour.
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Je ne trouve vraiment pas le scénario fou mais je me suis tuer sur les les expressions et « le vocabulaire » même si la fin est vraiment pas ouf, je verrais pour la réécrire plus tard en plus il est trop rapide. Je vais aller dormir vu qu'il est 1h41 du mat.
Bye