Un regard vers la fenêtre.
Et mon monde s'écroule sous mes pieds.
Je sors du véhicule, portant au visage mon faciès le plus neutre possible malgré les larmes invisibles roulant sur mes joues.
A mes côtés, deux inconnues, plus communément appelés « parents ».
Et face à moi, ce bâtiment trop grand, trop beau, trop parfait, trop majestueux. Trop. Tout comme cette situation.
- Tâche de nous rendre fiers, aujourd'hui. Soit aimable et un vrai gentleman. m'ordonna d'une voix le fameux paternel sans me jeter le moindre regard.
C'est sûre qu'il est plus doué en matière de gentleman que d'être un père. Chacun ses défauts.
Lentement, j'entre dans cet bâtisse surchauffer aux grandes baies vitré, aux lumières et à l'architecture époustouflantes. Ou juste cubique. Chacun son point de vue. Tous était propre, brillant, impersonnelle aussi, et froid.
C'est donc ça mon nouveaux chez moi ?
C'est donc ça le futur qu'on ma prédestiné noir sur blanc à le seconde où j'ai fait mon premier pas ?
Une maison de poupée aussi chère que le cul du président ?
Autant être pauvre.
Autant être orphelin.
Autant ne pas être moi.
Autant mourir.
Je ne passerai pas ma vie aux côtés d'une gamine pourris gâté qui pique une crise quand on lui dit « non ». Elle risque alors de beaucoup pleurer avec moi.
En parlant de la concerné, la voilà arrivé. La princesse.
Vétue d'une robe au décolleté aussi profond que la mer, à la robe aussi courte que mon espérance de vie ici. Au maquillage aussi opaque que de la peinture. Aux ongles aussi long et coloré qu'un pot de feutre. Aux cheveux blond atteignant la même longueur que ceux de raiponce. A la peaux mate voie brûlée. Aux lèvres refaite si large qu'une sueur froide me prit de peur que ses lips explose dés qu'elle daignera ouvrir la bouche.
Ce n'est pas une femme ça. C'est un perroquet.
Ce perroquet, d'ailleurs, me sourit, créant ainsi de petites fossettes sur ses joues maquillé, voir caché par la peinture beige. Elle passe par la suite une main bagué dans ses cheveux.
L'inconnu à mes côtés me fait un mouvement de tête suivit d'un regard dure très très peu discret.
Et d'un soupire inexistant, je fait un pas, puis un deuxième, et les pas s'enchaîne jusqu'â ce que j'arrive face à cette perro- femme que je verrais maintenant de plus en plus.
Car oui.
Je suis destiné à elle depuis que mes parents collabores avec l'Amérique. Avec le père de cette fille. Avec Amazon. Même si la zoophilie n'est pas mon trucs, je suis bien destiné à être le petit-ami de cette femme.
- Je m'appelle Jennyfer, ravie de faire t'as connaissance. Déclara ma « fiancé » suivie d'un petit sourire sans que l'explosion de ses lips n'ai eu lieux.
Ah tiens, j'avais pas remarqué l'anneau entre ses narines.
Oublier le perroquet, je fait face désormais à un buffle. Appelez l'abattoir pour moi.
- Jeon Jungkook, de mêmes. Répondit-je brièvement sans lui adresser le moindre sourire.
Je vais pas lui faire la causette non plus ! Tant que je n'aurais pas mon hamburger et ma bouteille de Sprite, je ne lui adresserait pas le plus léger sourire.
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Secret
FanfictionUn cris. Une larme. Le sang. Et enfin le silence. Après la mort de Jungkook. Taehyung tombera au fond du trou. Étant le premier suspect du meurtre. Il va tout faire pour montrer son innocence mais aussi pour trouver le véritable meurtrier. |Kookv| ...