Chapitre quatres.

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Chapitre quatre :

Cela faisait un mois depuis la mort de ma mère et elle me manque tellement comme si elle vient de mourir hier, je n'arrive toujours pas à m'habituer à sa mort.

7 h 00.

Je me réveillais et je regardais la photo de ma mère qui était accoté de moi. Je la fixais trop et puis je me suis dit que c'est peut-être pour le mieux. On frappa à la porte, j'allais voir, c'était Marie claire.

Elle : Tu as bien dormi ?

Moi : Oui, merci, mais dis-moi que ce que tu fous là ?

Elle : Je voulais te réveiller.

Moi : Je suis assez grand pour me débrouiller et n'oublie pas que dans quelques mois j'aurai mes 18 ans et je vivrai seul.

Elle : Pourquoi tu es méchant avec moi, que ce que je t'ai fait moi ?

Moi : C'est juste parce que je te hais.

En fait, je ne la détestais pas, elle était gentille. C'est juste que je ne veux pas qu'elle prenne la place de ma mère.

Je prenais ma douche et prenais mon petit déjeuner et quittais. Aujourd'hui je vais rependre mes cours enfin après un mois d'absence, je ne vais pas vous le cacher mais j'avais peur, pour des moqueries des autres, je n'étais pas prêt mentalement après tout ce qui m'arrivait.

Oups, j'ai oublié de leurs dires que je passerais la nuit chez Caroline, donc je prenais mon portable et j'envoyais un texto à Marie, car mon père je lui parle plus.

« J'ai oublié de vous dire de ne m'attendez pas ce soir, je passerai la nuit chez Caro. »

Arrivant au lycée, j'étais trop paniqué, mais coeur battait cent à l'heure. Je prenais mon souffle et j'entrais. Personne ne m'a parlé, c'était idyllique. Aucun jour passait sans que quelqu'un m'insulte, je me sentais étrange. Les insultes font partie de ma vie quotidienne.

Ma vie. Va-elle pour le mieux ? Trop de questions tournaient dans ma tête jusqu'au moment où quelqu'un me toucha. C'était Cette Matilde.

Moi : Tu es toujours là toi ?

Matilde : Oui. En fait, tu m'as manqué. Tu vas bien ? Et puis je suis désolé pour ta mère.

Moi : On s'est vu qu'une seule fois et je te manque ? N'importe quoi. Et ce n'est pas grave personne n'est éternelle.

n disant ces mots, je pensais à ma mère, les larmes montaient aux yeux, mais je ne voulais pas pleurer. Matilde me fixait et puis elle disait :

- Oh ! Je suis tellement désolé Eric, je suis stupide, je n'aurai pas dû te parler de ta mère. Je sais bien combien ça fait mal, j'ai perdu mon père aussi.

On avait un point commun, peut-être que je l'ai mal préjugé... On restait silencieux pour un certain temps jusqu'au moment où Matilde coupait le silence.

- On a cours maintenant, Allons-y.

On parlait de tout et de rien. Elle était sympa et sensible, on avait plein de points communs. Je crois que je me suis fait une amie.

La journée passait parfaitement que je croyais que je suis dans un rêve, pas de Harcèlements, pas de gens stupides.

18 h 00.

Caroline n’habitait pas trop loin de lycée, donc je décidais d'aller à pied. Je marchais seul dans la rue et je passais dans un chemin sombre. Je n'avais pas peur, j'avais mon mp3 aux oreilles jusqu'à...

Les jours de ma vie. (Days of my life.) (En pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant