Chapitre Cinq :
Je n'avais pas peur, j'avais mon mp3 aux oreilles jusqu'au j'ai entendu des cris. La voix était famille, je courus pour voir que ce qu'il y avait. Je voyais quatre garçons de grosses tailles et une jeune fille qui fait 17 ans au peu près. Elle criait de peur et d'angoisse. Je m'approchais un petit peu et c'était Matilde, elle pleurait. Je me suis caché derrière une grosse poubelle. Je voyais l'un de ces mecs en train d'enlever ses vêtements. Apparemment, ils étaient en train de la violer.
Matilde : S'il vous plait laissez-moi. Ne me faites pas mal s'il vous plait.
L'un des mecs : Ce soir ça sera l'une des nuits que tu n'oublieras jamais.
Matilde : Voici, prenez mon argent, mon portable et s'il vous plait laissez-moi aller.
Je ne voulais pas qu'elle ait mal et qu'elle soit violée. Donc j'allais la défendre.
Moi : Hey ! Vous les cons ! Laissez la fille seule espèce de bâtards.
Eux : Tu veux qu'on te viole aussi.
Moi : Tu n'oses même pas le faire. Tu es qu'un con.
Lui : Que ce que tu viens de dire.
Moi : Tu n'as pas entendu ? Je t'ai dit tu n'oses même pas le faire connard.
Après ces mots, il s'approcha de moi. Ses yeux brillaient de feux ! Il était rouge de colère. Il me plaquait contre un mur, il faisait très sombre dans cette ruelle, je reçus une gifle puis il me mit une autre gifle.
-Lui: Supplies moi de ne pas te faire de mal !
-Moi: C'est toi qui va me supplier de ne pas te tuer ! Lâche-moi !
Et encore une fois il me mit une gifle, je sentais que j'avais les joues rouges, elles me brûlaient. Les coups étaient tellement forts que j'avais l'impression qu'à chaque gifle qu'il me mettait je perdais une partie de mon visage.
Je poussai brusquement le mec et je mettais à courir, j'avais l'impression que la route était interminable. Je me cachais derrière une poubelle et pris mon portable. Je ne savais pas qui j'appelais, j'étais en stress j'avais peur qu'ils nous fassent mal. C'était Marie.
Elle : Allô !
Moi : Aidez- nous ! On va mourir ! Vite aidez-moi !
Marie : Tu es où ? ! Que ce que tu as ? Allô ! Allô !
C'était trop tard, l'un d'eux prit mon portable.
Lui : Dit au revoir votre vie est finie.
Et il commençait à me donner des coups de pieds et des gifles. J'avais mal partout dans le corps.
Chaque coup de pied me faisait mal. J'étais faible, je pouvais plus bouger...
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Les jours de ma vie. (Days of my life.) (En pause )
Teen FictionSi seulement si tout était pour la vie, et si seulement si nous l'étions aussi. Comme si on pouvait arrêter le temps et faire qu'un instant dure éternellement.