Deux éclats de rire.
Trois larmes qui coulent.Relire des messages,
Quelle étrange forme de torture.C'était toi qui m'apaisait
Mettait les pansements sur mes
plaies.Et on sait toutes les deux que j'aurais tout fait pour toi.
Et que je le ferrais encore.Je nous croyais plus fortes que tout
Mais peut-être qu'on était juste humaines,
Après tout.Dans quels bras courir ?
Qui aimera en moi le chat que tu voyais ?Et je te regarde de loin,
Rire avec ceux qui m'ont
Laissée,
Blessée,
Trahie.M'approcher,
Reculer.
Je n'ose même plus te parler.Être nous, ne plus être.
Trois gouttes de sang
Tombent sur le sable mouillé,
Et les souvenirs.
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Mono no aware
PoetryLa tristesse des choses. C'est beau, c'est aigre-doux. C'est un joli nom pour des poèmes, non ?