L'air devient de plus en plus froid.
Je suis dehors,
Mes écouteurs dans les oreilles.Ça recommence,
Je le sais,
Je le sens.Je veux essayer d'arranger tout
Toute seule.
Peut-être que cette fois,
Tout sera différent.Je souffle des pissenlits,
Et je me pique à leurs épines.
Personne n'en sait rien,
Personne n'en a rien
À faire.La balançoire rouillée
Grince dans le vent,
Abandonnée.
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Mono no aware
PoésieLa tristesse des choses. C'est beau, c'est aigre-doux. C'est un joli nom pour des poèmes, non ?