Je me sens toujours en deuil , toujours en larme, sans aucun corps étalé dans un cercueil, malgré je garde ma flamme c'est comme ci j'avais perdu ma femme.
Je vis une vie sans vie, une vie dans le vide, dans le vide de l'effroi de ce monde se sera mieux de dire, l’effroi de mon pays.
Mon pays Haïti qui a été construit et bâti mais qui na jamais grandi, Haïti un pays, qui se détruit seul . Depuis après l'arrivé des Colomb sur le sol indien, la vie dure et la mort en taux massives commença à faire une grande perte de population. On fait appel aux noirs d’Afrique les esclaves d’Afrique un peuple plus ou moins laborieux toujours prêt à lutter après un certain temps occupe cet île d’or, de mine à chaque caverne, chaque grotte et même dans les plages sur les côtes.
De jour en jour l'histoire patrimoniale devient plus vastes avec ces loups dévastateurs qui nous tortillaient qui nous pillaient . On vivait avec la richesse mais nous étions pauvres, ont marchait sur la nourriture mais nous avions toujours faim, tous nos efforts reste en vain. On était esclaves, même si c'était nous qui travaillait à la boulangerie mais nous travaillons pour avoir du pain...
Juste au moment de la révolte dans la cérémonie du bois caïman malgré nos différentes couleurs de peaux, ont étaient de sang noir.
Assez, assez …
On a dit assez aux blancs Français . On a dit : « boulèt e pousyè tè li ye . » arrêté de nous violé.
Malgré notre indépendance on est jamais indépendant toujours les runes de souffrances s’installent sur nos visages.
On n'a plus de chaîne dans les mains, dans le cou et dans les pieds mais on a une chaine soudée dans nos pensées.
Une souffrance depuis notre enfance jusqu’à notre vieillissement. On doit regarder notre passé identique du présent pour changer le futur . Pour changer le futur du pourriture.
Pour cela nous devrions unir nos voix en disant assez .
Assez, assez…
Assez à l'esclavage psychique . Assez à cette politique corrompue . Assez au mensonge présidentielle. Assez l’analphabétisme . Assez d’être parasites . Assez aux harcèlements sexuels . Assez à la violence féminine. Assez de Semer la terreur . Assez et de cesser de créer des bandits parce que nous voulons la paix plus de souffrances nous voudrions être libre.
Assez, assez trop de souffrances pour un pays si vert si nous changeons pas de mentalité il transformera en désert.Nathan l’écrivain
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L'encre de nos entrailles
عشوائيQuand des cris sont ettoufés, des pleurs ingurgitées, des souffrances dissimulées, les arnatives se font rares pour évacuer. Nous ne croyons pas au suicide, non, nous croyons à la vie. Ce champ de bataille qui ne cesse de mettre à l'épreuve forts et...