Ironie

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Je m'arrête à l'ombre des regards
Ma pensée n'entend plus son nom
J'ai le coeur meurtri mais mon amour survit
Pour cette admiratrice qui me regarde sans suivit

Je rêve son visage a des heures décousues
Toi homme de mon passé
Qui ne sait rien de ma personne
Mais parle de mon être enfantin

Je n'éprouve aucune haine à ton égard
Juste une joie déshonorante
Qui me grignote tout doucement comme un parasite
Et je te souris âme errante

Tu as fais partir de ce monde qui est mien
Tu riais pour un rien
Des traits de ma personne
Une personne que je n'ai jamais manqué d'être

Et toi femme qui me regarde
Pose tes yeux sur un autre bourreau du dimanche
Qui ne sait pas parler ta langue
Qui ne connait pas tes origines

Tu es belle et aimable
Mais je dois tourner la page
Il se fait froid au pays de ma mère
Qui est entre deux temps entrain d'agoniser

JFK

A l'ombre de mes pensées Où les histoires vivent. Découvrez maintenant