Poeme

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J'y étais dans ce pays mes amis, oui j'y étais
J'ai marché nuits et jours, bravé les périples
Bravé mes peurs et mes désolations sans jamais regretté
Et j'ai enfin trouvé la voie vers le vrai monde

Marcher dans son sourire de merveille
Boire dans son fleuve de baisers
Dormir entre ses collines de douceur
Et vivre pour l'éternité dans le nuage de son amour

Ce pays m'était autrefois inaccessible, oui, inaccessible
Car j'étais embrigadé dans le vice de la nuit
J'aimais le vent de caresses des tempêtes
J'aimais le monde, le monde brutal du plaisir de mes songes, d'outre sens

Couvert par le parapluie de mots, impossible de poser un œil vers le soleil
Endormi par la tendresse des visages, mon cœur sombre et sombre
Mais, lorsque cette sainte mélodie raisonne comme l'évangile,
On s'adonne à des jeux dangereux pour cette image de soleil

J'ai perdu, à ce jeu de charme, j'ai perdu devant ses charmes
Qui sont si doux à minuit et irrésistible à midi
Elle est l'image de la beauté dans son absolu volupté
Elle est l'insigne de victoire, la muse de ce poème

JFK

A l'ombre de mes pensées Où les histoires vivent. Découvrez maintenant