Je repense aux courbes de son corps
Si sensuelles et si agiles qu'un cygne
Elle avait conquis mon coeur et en était digne
Par ses actes tyranniquesNotre rencontre était pacifique
Lors d'un courant de pensée historique
Qui des âges à travers des âges recommençait
Sans jamais s'arrêterLe sourire qui se dégage de ses lèvres
Était muni d'une douceur sans pareil
Si gracieux et si doux
Que j'en croyais pas mes yeuxLa relation y était fluide
Le temps passait sans jamais s'arrêter
Les oiseaux chantaient sur nos oreillers
Mais il m'était difficile de m'imaginer loin d'elle comme bénit par le cielMes caresses sur son corps timide
Était telle une bouchée d'électricité inoffensive
Ses lèvres frémissaient sans me dire d'arrêter
Le temps passait et on demeuraitDes années de joie et d'excitation
Des jours de fleurs et de rose
Les astres avaient pris notre partis
Et n'entendaient pas perdre le parisComme un don Juan du dimanche
Il y avait cet oiseau qui chantait sans cesse comme un rossignol
Et elle était intéressée par sa mélodie
A croire que la fleur a fanéA l'agonie de mon amour
Je ne percevais plus la lumière
Tout était si noir que j'entendais plus les battements de mon coeur
Certainement parceque j'étais enterré dans la tombeJFK
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A l'ombre de mes pensées
PoesíaCe nouveau recueil de poèmes sera different, sensible, émotif et véhiculant pour la plus mes sentiments Bonne lecture ✨