Seconde Édition du Taekook fête l'été, une nouvelle ribambelle de One Shot sous le Soleil estival, mettant en scène Taehyung et Jungkook, mais sans contraintes, ça ne serait pas drôle...
Par : cygnaes
En collaboration avec :
sugarizona
chiekookie...
bonsoir à tous, c'est @di-on-ysus encore une fois, je suis en retard
(tant qu'il n'est pas 6h, ça passe non?)
bonne lecture! x
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- Vous êtes pas sérieux ? je demande, sans pouvoir m'empêcher de serrer la mâchoire.
En m'entendant, mon responsable souffle et retire ses lunettes pour les poser sur son bureau avant de passer la main sur son visage.
Sincèrement, j'espère que c'est une foutue blague.
- Tu vas me dire que tu peux supporter de garder un costume pendant une bonne heure et en pleine journée mais pas pouvoir animer une activité avec Sooji ?
- C'est à peu près ça, j'affirme.
Il souffle à nouveau. On dirait pas comme ça, mais M. Lee est un type très cool avec nous. Il prend le temps de nous écouter nous plaindre et reste franc sur ses pensées. C'est ce que j'aime le plus chez lui, sa franchise. Même si parfois, elle e m'arrange pas trop.
- Ecoute Jeongguk, je ne sais pas ce qui s'est passé entre toi et Sooji. Je me doute que c'est quelque chose d'assez grave puisque t'es du genre à esquiver les problèmes. Mais très honnêtement, ce n'est pas le mien, il dit en me regardant droit dans les yeux. Ça pique, un peu. Là, c'est dans le cadre du travail. Tu n'as pas à sympathiser obligatoirement avec elle, bien au contraire. Vous allez juste vous occuper de gosses au nez plein de morve et faire des jeux avec eux. Éducatifs ou pas, c'est comme tu veux. Mais faut sérieusement que t'apprennes à mettre de côté ta haine. Tout au long de ta vie, tu devras bosser avec quelques connards et connasses, c'est chiant et énervant au plus haut point, je te le confirme. Je suis passé par là.
- Je comprends...
J'étouffe bien difficilement un soupir. Après tout, je m'attendais à cette réponse, mais j'osais espérer qu'il se passerait le contraire.
- Sauf si votre histoire est allée plus loin que je le pense, c'est-à-dire où une justice doit être faite et je peux t'assurer que je m'occuperai très bien de votre cas, m'annonce-t-il en me regardant très sérieusement.
- Non, ce n'est pas une histoire dans ce genre-là...
- Sûr ? me pose-t-il la question une dernière fois.
- Oui, je réponds avec plus d'assurance.
- Très bien. Dans ce cas, je te souhaite la bienvenue dans le monde des adultes !
- Désolé de vous avoir dérangé.
C'est sur ces mots que je me retourne et ouvre la porte pour sortir du bureau de mon patron. J'adore son franc-parler, mais cette fois, sa réponse ne me convient pas du tout.
