P.D.V Winston
Quand Monty gara sa voiture dans le parking de la patinoire, il m'adressa un sourire
M:Sa te dit de patiner avec moi ?
W:Mais c'est fermé... et tu as vu l'heure ?
M:Oui, justement...
W: Tu as les clés?Il sorti des clés de sa poches et me les montra
M: Évidemment... Tu viens?
P.D.V Monty
Je lui tendis ma main et il me l'attrapa d'un coup, je poussa un petit cri de surprise et nous partîmes en direction du bâtiment.
Arrivés dans le hall, je lui lâcha la main pour aller allumer la piste et les gradins .
Je pris deux paires de patins à glace et le rejoignit.W: Sérieux ?
M: Bah oui, qu'est-ce qu'on ferait ici alors?Je lui donna les patins et nous les mirent à nos pieds.
P.D.V Winston
Il est sérieux, je ne sais même pas patiner...
À peine je suis sur la glace, je suis déjà au sol. Je suis vraiment pas doué.M: Tu as besoin d'aide !
W: Je veux bien...Il me tendit sa main et je tira sur son bras, se qui le fit le tomber sur moi.
Et nous nous regardâmes et nous nous mîmes à rire. Quand il me redressa, cette fois pour de bon, je me plaça derrière lui et il m'emmena sur la glace.
Je lâchais quelques injures quand Monty allait trop vite, se qui le faisait rire à ce que je voyais.
Quand il se retourna, il me regarda et m'embrassa se qui nous refît tomber par terre.Quand on sorti du bâtiment , je regarda ma montre, bientôt 2h du matin, la soirée est passée tellement vite...C'était trop bien !
Nous partîmes en direction du parking du lycée où était garé ma voiture et nous partîmes chacun de notre côté...P.D.V Monty
Je n'y crois, je suis en train de faire de la patinoire, moi, Montgomery de la Cruz, avec un mec en plus ?!
Sur le moment c'est vrai, je ne me suis pas posé ces questions. Mais là, dans la voiture, seul, je ne sais pas, je ne sais plus, la seule chose que je sais c'est que je l'aime ou qu'il m'attire...
Bryce le sais, il m'en a parlé ouvertement , j'ai voulut le tuer pour avoir dit sa dans les vestiaires avec tout les autres joueurs, mais je n'ai pas réagi, comme si, c'était une vérité qu'il fallait dire, avant que le mensonge ne soit plus vivable.
Je n'avais pas ressenti cette sensation depuis tellement longtemps, j'aimais être avec lui, sentir ses lèvres sur les miennes, mais il y a un problème majeur. Mon père. Ce malade pourrait lui faire du mal et rien que d'y penser, je me sens mal.Quand je sort de mes pensées, je remarque que je suis déjà arrivé et que ma voiture est garée. J'aperçut mon père à la fenêtre, il me regardais , j'arrive devant la porte et passe dans le salon sans prêter attention, à ses questions débiles...
P: T'as vu l'heure, p'tit con ?
Il empestait l'alcool, ma mère dormait, j'espérais juste une chose, qu'il ne la réveillera pas. Je rentre dans ma chambre et ferme à clé, mieux vaux être prudent, je me met sous ma couette quand j'entends tambouriner ma porte.
P: T'as pas compris? Je t'ai posé une question ?!!!!
M: J'étais avec une copine, désolé...
P: T'es sérieux là?!
M: Oui...Quand je répondis, il laissa un blanc puis se mît à rire en éclat.
P: Toi!? Avec une fille ?! J'y crois pas !Mon fils, je te croirais quand je la rencontrerai!
Et il parti, toujours en rigolant se coucher.
Je déteste quand il m'appelle mon fils...
Je le hais plus que tout.