Not Trait As Much As This

Chapitre 6 Partie 1

Coucou tout le monde !

Je sais que je reviens comme ça de nul part, mais vous savez la fac tout ça tout ça, ça demande de l'investissement et du temps, tout comme une traduction ! Pour mon retour je vous donne la 1ère partie du chapitre 6. Il a mis un temps fou à venir, je suis au courant. (le chapitre complet fait plus de 5200 mots donc la traduction est longue, bourrée de détails et de mots de vocabulaires complexes) voili voilou, j'espère qu'il vous plaira !

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Tony se réveilla au son de l'alarme des Avengers qui retentissait dans ses oreilles, l'effrayant à tel point qu'il tomba de son établi, atterrissant durement sur son dos.

" Putain, JARVIS, mon armure !" dit-il en se levant et en courant vers la chambre qui contenait le Mark quarante-trois et en fronçant les sourcils quand elle était fermée, tout en soupirant. "J, ouvre !"

"Je suis désolé, Monsieur, mais il a été convenu que pour la durée de votre rétablissement de la malédiction Veritas, vous seriez retiré de la liste des actifs."

Putain de merde. Il se passa la main dans les cheveux, marchant devant le coffre-fort verrouillé.

"D'accord. JARVIS ?"

"Oui, Monsieur ?"

"Connecte-moi aux communications. Je veux savoir ce qui se passe."

"Certainement."

Tony se mordilla les articulations en attendant un signal, scannant les fichiers de mission qu'il avait arrachés des serveurs de SHIELD lors d'un crépitement dans l'atelier. "C'est Hawkeye à l'appareil, quelqu'un est arrivé ?"

"Ici Iron Man", dit Tony, tout en rebondissant sur ses orteils avec une énergie nerveuse. "On a un problème dans le centre de Manhattan, ça ressemble à un cambriolage. Apparemment, le SHIELD a des secrets qu'ils ne veulent pas qu'ils soient révélés au grand jour."

"Iron Man ?" Steve n'avait pas l'air heureux du tout. "Tu es toujours sur la touche ! Qu'est-ce que tu fais dans les coms ?"

"Je passais juste le temps," dit Tony, déchirant des copies de l'info du SHIELD comme elle l'avait été envoyée. Il gloussa. "Wow, ces rapports ont plus de trous qu'un gruyère. Ils n'ont pratiquement rien."

"Où es-tu, bon sang ?"

"À la maison, " Dit catégoriquement Tony, en regardant dans les dossiers, n'appréciant pas le ton hostile. "Non pas que je n'aurais pas aimé me joindre à vous, mais JARVIS a enfermé mes armures."

"Oh. Merci, JARVIS."

"Je fais de mon mieux, Captain."

Tony grinca des dents pour s'abstenir de faire des commentaires. "Bref, j'écouterai d'ici pendant que vous faites votre truc. Ne faites pas attention à moi."

"C'est très bien," dit Steve et Tony entendit une note de soulagement dans sa voix. Eh bien, c'était insultant.

"Merci pour la permission, Captain," dit Tony amèrement. "Je suis offensé que tu aies l'impression de devoir commenter mes choix de vie."

Clint soupira. "Juste une fois dans ma vie, je veux me réveiller dans un monde où je n'ai pas à écouter cette merde."

"Toi et moi, tous les deux."

"Bruce !" s'exclama Tony joyeusement, l'humeur s'étant instantanément relevée. "Quand es-tu revenu ?"

Il pouvait pratiquement deviner le sourire réticent de Bruce en ligne. "Hier."