Chapitre 3 : Zia

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Une chouette hulula un peu trop fort et me réveilla au beau milieu de la nuit. J'allais me rendormir quand mon regard fut attiré par la lumière d'une chandelle s'infiltrent à travers le parquet. Je m'agenouillai sur du sol et colla une oreille sur les fissures. Des voix, rien de surprenant, seulement celles de mes hôtes. J'allais me recoucher quand j'entendis un éclat de rire bien particulier. Celui de Zia. Toute existé, je descendit en cavalant les escalier, manquant de peu de trébuché. Hors d'haleine je recherchais mon chemin dans le noir en me cognant dans les meubles qui m'étaient invisibles. Je déboulai dans l'arrière boutique, où se trouvaient tous ces gens, et sauta dans les bras de mon amie. « Zia ! » m'écriai-je, la joie me serré le cœur aussi fort qu'avais pus le faire le désespoirs. Cette jeune femme avait de beaux et longs cheveux noir, une figure attachante et des yeux bleu très clair. Elle me semblait avoir grandi, bien qu'elle eu déjà fêté ses vingt ans. Son sourire était chaleureux et sa présence réconfortante. « Alica, dit Zia, que je suis contente de te revoir ! Comme tu a mauvaise mine, ton teint et presque aussi pâle que le mien !

- Oh, Zia, tu m'a tellement manqué. J'ai eu tellement peur.

- Moi aussi j'ai eu peur de ne jamais te revoir, princesse. Je suis tellement désolé... Pour la reine. »

Et voilà que je me remettais à pleurer. J'avais l'impression de n'avoir fait que cela depuis le début de ce voyage. Un jour je n'aurais plus aucune larme à versé. Je serrais fort mon amie dans mes bras. La dame des Roses était là aussi. Une fois détaché de Zia, je vient la serrait à son tour. Celle-ci avait toujours était bonne pour moi malgré son statut de simple camériste. Son poids excessive m'étouffait toujours autant, mais sont contacte familiers m'était agréable. « Oh, ma chérie, ma petite chérie, me dit-elle, nous allons te sortir de là je te le promet. Regarde toi, comme tu a maigris ! Ce qu'elles t'ont fait subir est inacceptable. Elle le paieront !

- Je vais bien, allons, vous voyez ? »

Mes émotions dépassèrent mes mots, mais le grand sourire que je lui fit ne les laissèrent pas présager. Je n'allais vraiment pas bien.

Nous continuâmes nos retrouvailles autour d'une boisson chaude, laquelle était pour moi la plus douce d'entre elles, le chocolat chaud. Nous parlâmes un moment du bon vieux temps ou Zia et sa mère venaient apportées des fleurs fraîches tout les matins au château. C'est ainsi que la dame des Roses avait acquis son surnom en réussissant l'exploit de dénicher des roses à Hélios. J'us très top de l'attachement pour ma douce amie c'est pourquoi je commanda à ma mère de prendre Zia comme suivante afin qu'elle reste avec moi au château. Nous nous sommes toujours très bien amusé, elle, moi et toutes les autres jeunes filles de ma cours. C'était le bon vieux temps, quoi.

Le matin pointé déjà le bout de son nez, que nous parlions toujours. J'étais déjà à mon troisième bol de chocolat. La discussion, d'abord anodine, avait très vite tournée sur un complot de vengeance. J'étais en accord avec la plupart de leurs idées, mais quelques choses dans leurs propos me dérangeais. Il me semblais que je ne sois qu'un prétexte pour exercer une vengeance personnelle d'une personnalité dont personne n'évoqua le nom. Cependant j'eus bien compris la petite subtilité dans leurs propos qui incluait de me faire regagné mon trône par un coup d'état plus sanglants que le précédent. Je n'étais pas sûr de vouloir être responsable d'un autre massacre.

« D'après les dernières nouvelles, dit la dame des Rose, un nouveau couronnement aura lui cet après midi et les trois Piques seront en compétition pour obtenir la couronne. Personne d'autre ne participera, car un candidat extérieur a était retrouvé noyer dans les douves, un autre étouffer dans son lit et un troisième emporté par une fièvre fulgurante, ou bien un poison fulgurant.

- Tous les autres candidats on subitement retiré leurs candidatures par après, continua Zia.

- L'aîné des Piques, Captis, est la plus sage, continua la première, en pareil situation sa sagesse risquerait de faire pencher la balance en sa faveur. La cadette, Filuvienne, est la plus habille de ses mains, elle manie l'arc avec la plus grande précision. Sa compétence sera idéal si un combat viendrais à se produire. Quant à la troisième, peut de chose circule à son sujet si bien qu'on la surnomme Rhalda la mystique ou Rhalda la magicienne. La seule chose qui est de notoriété publique à son sujet est qu'elle serais parti dix ans dans la Cité Obscure pour y apprendre les sois disant sorcellerie occulte.

Alica de Savery - La renaissance des WyvernesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant