The Mentalist S8 ép2: Réveille toi.

Chapitre 9.

Salut ! Bon, je sais que j'avais dit que je posterais samedi dernier mais j'ai eu des prblm de connexion internet assez agaçants du coup j'ai préféré attendre que ça passe. Voilà voilà ! Bonne lecture !!! Chapitre un peu court mais je vais me rattraper après, promis.

5 jours plus tard :

   L'état de Jane ne s'améliorait pas. Lors de son dernier arrêt cardiaque, les médecins avaient perdu espoir quand son cœur s'était remis à battre. Le consultant ne pouvait même plus respirer de lui même: une machine le faisait à sa place. A l'hôpital, tout le monde était du même avis: un nouvel arrêt et il ne survivrait pas.

   Lisbon quand à elle était de plus en plus pessimiste et avait perdu tout espoir de voir Jane se réveiller un jour. Elle pleurait en permanence, sautait des repas, ne dormait plus du tout. Elle était complètement déprimée, et la seule personne étant capable de la sortir de cet état était la cause de son malheur.

   Pour la troisième fois dans la journée, Cho vint rendre visite à Jane. Il venait dès qu'ii avait du temps libre. Quand à l'enquête, elle n'avançait pas. Kévin Mc Shire était introuvable. Comme toujours.

   Cho ne toqua pas avant d'entrer, et s'assit sur une chaise, comme d'habitude. Il regarda Lisbon qui avait les deux coudes appuyés sur le bord du lit, la tête dans les mains, et qui pleurait. Comme d'habitude. Aucun d'entre eux ne prit la parole, et au bout d'une demi heure environ, Cho alla chercher un café, histoire de se changer un peu les idées et de ne plus entendre Lisbon pleurer. "Les hormones", se dit-il.

   Une fois seule, Lisbon s'assit sur le lit, face à Jane, et prit sa main qu'elle caressa doucement, tout en regardant son visage. Elle murmura :

<< Deux semaines... Ça fait deux semaines, Jane... Je t'en prie, réveilles toi... J'en peux plus... >>

   Elle sanglota bruyamment. Elle était à bout. Physiquement et mentalement.

   Et alors qu'elle bougeait sa main afin de mieux tenir celle de Jane, la main du consultant se referma sur la sienne.