Désir et passion

La vengeance

20H, ma sœur décide de rentrer mais moi je décide d'y rester, toutefois il a fallu qu'elle rentre à la maison. Je lui ai dit de prendre la moto et je reste quelques temps et elle a obéi et partit. Une fois qu'elle était partie, à peine arrivéé sur le trottoir j'appelle un taxi et il me conduit à l'endroit qui était à 10 minutes de notre point de rencontre
-Dis-moi gros con mon corps de rêve te manque ?
-Ben je ne sais pas trop, même moi je ne sais pas ce que je fais.
-Je me rappelle que c'est toi qui m’as dit de venir ici.
-Ben oui mais je ne sais pas trop.

Dans ma tête le désir se fait sentir mais j'ai peur de la lui dire parce que j'étais un crétin, quelqu’un qui était incapable de parler à une fille de façon normal et là elle est très sexy dans sa mini-jupe et à chaque seconde de plus elle la monta et mes désirs ne fait qu'empirer. Elle me regarda avec un air de fierté et je pense qu'elle disait en lui c'est moi qui suis au commande. Elle commença par me déshabiller et retirais mon pantalon, elle mit ses mains sur ma verge, je sentis sa langue pénétrer mon pénis elle faisait la fellation avec tant de rage. Putain !
-Tu t'en souviens de ta dernière parole quand je la suçais ? Tu t'en souviens de tout ce que tu m'avais dit sur ton amour pour l'autre fille ?

À chaque parole qui sorte de sa bouche, il l'embrassa beaucoup plus fort malgré qu'elle sût que
j'ai reçu une déchirure dans ma partie génitale mais ça n’empêche pas cette fille de me faire
autant de mal. Je n'étais plus loin de hurler, je ne pouvais pas jouer le rôle d'un mec fort parce que là c’était lui aux commandes mais je résiste encore. Elle continua à la lécher et souleva sa tête en me demandant : "Comment te sens-tu crétin?" Elle continua par caresser tout mon corps et c'est maintenant que j'ai compris ce que les femmes ressentent quand elles ont l'envie de jouir,
quand elles faisaient l'amour et oups j'ai l'envie de faire l'intromission. Elle tenait ma verge bien dure et fait semblant qu'elle allait m'accorder du plaisir.
-Hey gros con !
-Quoi?
-Prends tes affaires et sors !
-Tu plaisantes Shame.
-Maintenant tu m'appelles Shame, sors jeune homme d'ailleurs c'est mon argent qui a payé cette chambre.
-Shama, je suis tout excité, ne sois pas méchante envers moi, accorde-moi tout simplement deux minutes de jouissance le temps que je me soulage.
-Oh merde ! Sort, je sais ce que je fais, je sais pourquoi je le fais et je suis fière de le faire alors je te prie de sortir.

Ben je n’avais pas d’autres choix, elle m’a eu. J’avoue que c’est la toute première fois que je sentis l’odeur d’une telle humiliation. Le plus dur dans toute cette histoire c'est que j'étais assis derrière le taxi avec ma verge en pleine érection et des gouttelettes de sang coulèrent le long de mon jean.