Désir et passion

le cauchemar

Arrête!! Je n’ai pas envie, laisse-moi tranquille je vous en prie, arrête. Sort de ma tête, je veux t'oublier. Mais j'ai entendu sa voix encore plus fort dans ma tête, mes réactions sont en vain, je
me sens impuissant comme une proie facile pour mon prédateur.De loin j'entends une voix ressemble à celle de ma sœur qui me dit : « Réveillez-vous Mano ».Conscient que j'étais enfermé dans un cauchemar, je sursaute, mon corps en sueur et dit : Où est-elle? Je t'en prie dis-moi où elle est sœurette. Avec un regard désespéré, ma sœur essaie de me venir en aide.
-Je m'excuse de t'avoir frappé si fort Daniel, tu me faisais pitié, te voir pleurnicher dans ton sommeil me rend vraiment triste surtout à cause de cette fille. Je vous l'ai déjà dit, tu dois la
sortir dans ta tête, oublie la, sinon tu risqueras de devenir un homme hystérique.
Assis sur le lit, tout trempé, essayant de me rappeler de mon fantasme, cela avait l'air si réel. Rien qu'en y pensant ça me donne la chair de poule. Revoir son corps de rêve, si désirable, imaginant une partie de jambe en l'air avec elle, sentir mes bras balayaient sur toutes ses parties intimes me faire perdre la tête. Même si elle m'humilie, il faut reconnaître qu'elle a ce qu'on appelle le corps du désir, un corps qui hante mes pensées et mes rêves. Attendre que mon esprit cesse de lutter avec mon imagination, que mes pensées décident réellement à l'oublier, refusant de vivre à nouveau ce cauchemar, j'inspire un bon coup et je me lève en me dirigeant sur la douche afin d'effacer sa chaleur sur mon corps, qui sait, peut-être même à oublier ce cauchemar.J'ai peur de me regarder dans un miroir, peur de regarder la tristesse sur mon visage. Encore elle,
toujours cette femme. Cette femme qui est la conséquence d'une soirée ratée. Je donnerais tout ce que j'ai et même ma vie pour tout oublier. J'hurle de toutes mes forces, pourquoi moi? Pourquoi elle? Et là encore je suis de nouveau enfermé dans mon fantasme et oui ça recommence. Elle était là tellement proche de moi que j'ai senti sa respiration près de mon épaule, la chaleur de sa peau sur mon corps. Je me sentais perdu, j'inspire un bon coup pour redevenir normal et je me constate tout nu dans le salon sur le canapé de ma mère.J'ai eu l'impression d'être observé par quelqu'un, je lève mes yeux, eh merde !! toute ma famille était là, Tous debout entrain de contempler mon corps plein de sueur et le canapé rempli
d’éjaculation. Déçue, ma mère reste bouche-bée et me regarde avec un air méprisant.
-Oh mon Dieu!! Finalement, vous devez voir un psy, trop c'est trop.Et me laisser seul avec ma petite sœur, qui va sûrement me sermonner.
- Souviens-toi de ce que je t'avais dit ce matin.
-Non ne parle pas comme ça petite sœur je vous l'ai déjà dit, cette fille n'existe plus pour moi.
-Tant mieux mon frère va prendre une douche avec ta petite bite.
Elle a cru, elle pensait vraiment que je l'ai oublié. Je n'y arriverais pas à l'oublier. Je suis incapable de l'admettre à ma sœur mais J'étais sûr qu'une partie de jambe en l'air me fera du bien.Et j'ai commencé par dire des petits trucs à haut voix Shama ce soir on va s'éclater, Shama ce soir je me ferais tout le plaisir à te faire l'amour et à me réveiller entre tes jambes le lendemain. J'ai composé son numéro et ce jour-là le téléphone sonne sans réponse elle n'était pas là j'avoue qu'à ce moment je me sens abattu comme un animal sauvage.Je prends ma bouteille de bière je m'installe sur mon lit. Souvent je relève ma tête du lit et regarde mon portable pour voir si Shama m'envoie un texto et puff, J'active mon portable à mon radio pour mieux entendre le son de mon portable si au cas où elle a vu mes appelles.
Ting tong ting!
Mais ce n'était pas lui. Chaque fois que j'entends la sonnerie de mon portable, je sens les battements de mon cœur qui s'accélèrent et mes mains se mettent à trembler. Ma respiration
devient plus courte. Je relève ma tête avec une rapidité mais je ne trouve rien que le réseau qui m'envoie un texto. Puff! Je rêve de revoir ses yeux fous du désir. De sentir encore ses fesses sur
ma bite qu'à chaque coups de queue que j'ai entendu ces gémissements.
Ting tong ting!
Euh oui cette fois ci c'était mn petit ange
-Où est ce que tu étais?
-Bonjour gros con, oui je vais bien, oui j'ai eu un très bon mâtiné, excuse accepté on en parlera une prochaine fois. Bonsoir!
-T'es pas sérieuse j'espère.
Piiiiiiiiiiip
Euh oui elle était sérieuse elle a raccroché ben je n’avais pas d'autre choix que d'aller chez lui Une fois arrivé elle m’avait regardé avec un air méchant et humiliant
-Tu as mis du temps gros con
-Vue la façon que tu avais raccroché sur mon nez je pensais que tu ne voulais pas de moi.
-Entre fait comme chez vous mes parents sont en voyage et les autres gens ce sont mes
travailleurs, installer vous dans le salon ou dans la chambre à ta gauche je vais te chercher quelque chose à boire.Une fois à l'intérieur, j'étais mort d'inquiétude, peur que ses parents rentrent beaucoup plus tôt que prévu. Quelque secondes étaient passés. Shama était là devant moi, presque nue vêtue que d'une culotte rouge en dentelles, les seins nus. J'étais réduit à un silence que tout ce qui se passe à l'intérieur de ma tête c'est de courir. Elle posa sa main sur ma bite et j'ai lui ai dit d'arrêter.
-Mais pourquoi? J'ai senti ta verge en pleine érection bien dur sous ta pantalon et elle me dit laisse-moi te faire jouir. Dis-moi de quoi as-tu peur?
-Ben j'ai peur que tes parents finissent par se débarquer dans ta chambre. Elle se mettait à rire
-Dit chéri si tu avais aussi peur pourquoi tu as choisi de t'installer dans ma chambre que dans le
salon.
-Euh….. Parce que, parce que.........
Je n’ai pas terminé ma phrase qu'elle se mettait à m'embrasser j'ai laissé faire, je sentais la douceur de ses lèvres sur les miennes, sa langue dans ma bouche je la suçais comme une boule de sucre avec autant de passion. Elle soupir du plaisir, je tiens ses grosses fesses et je la soulevai et j'ai senti ses sens sur mes pectoraux. Elle commença à me déshabiller pendant que mes doigts
glissent sur son clitoris et mes lèvres sur son cou elle me poussa sur le lit nous formons une nos sueurs s'entremêlent. Je sentais le battement de son cœur à un rythme élevé. On s'embrassait longuement et elle m'a mordu les lèvres pendant moi je tapes très fort ces fesses. Elle me déchire
du regard et s’adonne totalement à moi.
-Dis-moi qu'est-ce que tu attends pour me faire jouir
J'étais obligé de prendre les choses en mains. J'ai la pris par ses fesse et la renverser sur le lit, elle me tient par le cou et je continue par l'embrasser elle a tenir ma verge bien dur dans sa main
et la met dans sa tranche. Elle poussa un cri que moi j'ai arrêté mes va- et-vient.
-Ne t'arrête pas fait moi jouir encore et encore et je veux que tu cesses de jouer avec moi.
-Elle n'as pas terminé sa phrase qu'elle a reçu une tapette dans ces fesses et j'accélère de plus mes
va-et viens les yeux de Shama s’illuminent instantanément de désir et de plaisir à peine contenu
Shama serre avec ses poings les abords de son lit pour ne pas exploser de plaisir. Au bout de 22minutes je me suis déversé en elle. Nous étions allongés l'une à côté de l'autre et elle me
regardait avec ces yeux pleins du désir.
-Dis-moi qu'est-ce qui te fait peur le plus mon corps ou mon père qui est à 1h de la maison.
-Tu plaisantes Shama.
-Mais non et moi je suis prêt à prendre le risque de faire un denier sexe avant que mes parents
arrivent
-Sans blague Chérie, déjà je vous souhaite bon succès mais se sera sans moi.
-Je vois maintenant pourquoi elle t'a repoussé.
-Qu'est-ce que tu dis Shama ?
-Tu m'as bien entendu.
J'étais en colère et je la bousculais contre le lit, ses fessiers étaient tous près de ma bite. J'enfonçais ma verge bien dur je ne sais pas si c'est dans son vagin ou dans son anus et j'accélère.
Dis-moi c'est ça que tu veux hein dis-moi c'est ça que tu veux ?
-Arrête gros con, arrête ça fait mal.
J'étais si furieux que je tenais ses cheveux par ma main droite et j'ai entendu ses gémissements à
très forts dans mes oreilles. Ma verge était si sensible qu'à chaque va-et-vient que j'ai pleuré. Elle était là dans ma tête, là à me harceler et j'ai entendu sa voix dans ma tête disant : « Tu es un
lâche.» Et j'accélère encore et encore et on a fini par remarquer que ma bite se déchirait et le lit était mouillé de sang.
-Wouuu! J’aime quand tu es en colère, tu as une telle capacité à me rappeler tout ce que j’ai vécu, tu me faire gémir, tu me faire oublier. Cette fille ne sait pas ce qu'elle en train de perdre.