Un regard - Tome 3 - Kylian Mbappé

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... : Lâche là où je tire.

Je reconnais la voix, j'ouvre les yeux, je vois Neymar à côté de nous, un pistolet pointé sur la tête de Jordan.

Jordan (rigole) : Voilà ton sauveur, décidément y'aura toujours quelqu'un en travers de notre chemin.

Il me regarde noir et me gifle violemment, j'entends le bruit de la gâchette, je suis apeurée et en même temps rassurée, Neymar le pousse violemment ce qui le fait tomber du lit, je me relève en me mettant à côté de Neymar.

Neymar : Ose la toucher encore une fois et ça va mal ce passer.
Moi : Il a un couteau fait attention.

Jordan cherche le couteau dans sa veste, mais Neymar le sort de sa poche et lui montre.

Neymar : C'est ça que tu cherches connard ?
Jordan (sourit) : Vous voulez pas me rejouer la scène d'hier mais avec le son histoire que je prenne mon pied.
Moi : T'es malade, va te faire soigner.
Jordan : J'ai pas de problème de santé t'inquiète pas par contre (regarde Neymar) tu devrais faire, faire du sport à ton gros lard de fils, ça lui ferait du bien.

Il lâche l'arme et le couteau et ce jette sur lui pour le frapper, je ramasse le couteau et l'arme, Jordan est sur lui a le frapper, je pointe l'arme sur Jordan.

Moi : Dégage de la, crois moi que j'hésiterais pas à tirer.
Jordan (rigole) : Oublie pas que je te connais et que t'as toujours été une bonne à rien et en plus une pute, ta fille prendra exemple sur toi parce que tu seras son seule modèle, une pute blindé de pognon parce qu'elle ce tape des milliardaires.

Je pointe le fauteuil à côté de lui et tire, je suis rassurée de voir que c'est un silencieux, Jordan me regarde, je vois à son visage qu'il ne rigole plus et qu'il a peur, Neymar lui fout un gros coup de poing dans le nez qui ce met immédiatement à saigner, il cri de douleur, Neymar ce relève, je m'approche de Jordan, il est allonger au sol, je viens lui marcher sur les couilles et je piétine bien dessus, il cri de douleur, je décide de jouir assez fort par dessus ses cris pour que les voisins pense qu'il est occuper avec une fille.

Neymar me regarde abasourdi, je sais qu'il est étonné voir choqué de me voir de cet façon, pour le coup ça m'amuse assez.

Neymar : Viens on ce casse.
Moi : Attend. (À Jordan) Je veux plus entendre parler de toi, et la vidéo ne sortira pas, sinon je porte plainte pour agression et je raconte tout ce qui s'est passer y'a quelques années.
Jordan : Va te faire foutre pétasse.
Moi : Je rigole pas avec toi, j'ai des preuves pour te faire enfermé en taule, alors fais attention à ce que tu fais si tu veux pas passer ta vie derrière les barreaux.
Jordan : Tu me fais pas peur.
Moi : Tu devrais, j'ai des vidéos ou tu me frappes, des audios ou tu me menaces et pleins d'autre chose tu devrais faire attention.

Je lui fait écouter l'audio de notre appelle de ce matin.

Jordan : C'est bon je vais rien faire.
Moi : On verra ça, je te louperais pas sache le.

Neymar reprend l'arme et le couteau pour les ranger dans sa veste, on sort de la chambre, on rejoint chacun notre voiture et on retourne chez lui. Avant de rentrer il me prend à part pour que les enfants ne nous voient pas, je l'enlace, il pose ses mains sur mes joues.

Neymar : Il ne t'a pas fait de mal ?
Moi : Non il a pas vraiment eu le temps, t'avais raison j'aurais dû aller voir la police et ne pas aller le voir mais je pensais pas que c'était un malade mental, il a complètement vriller.
Neymar : Tu restes ici ce soir, je veux pas que tu rentres chez toi.
Moi : Merci pour tout à l'heure et merci d'être là pour nous, tu as été présent plus qu'Aly et j'oublierais jamais.

Il dépose un baiser sur mon front puis mes lèvres, on ce fait un câlin avant de rentrer dans la maison, les garçons sont sur le canapé, ils regardent un dessin animé avec une femme, quand elle nous voit elle ce lève, je me débarrasse de mes affaires.

Neymar : Merci, tu peux y aller.

Il lui donne un billet, celle ci part, je m'assois à côté de Kaïs et le prend dans mes bras.

Moi : Vous avez manger ?
Davi : Oui, le dessin animé est bientôt finit.
Neymar : Tu iras te mettre en pyjama après et tu iras au lit.

Kaïs pose sa tête contre mon épaule, et met sa main sur mon ventre, je souris en le serrant dans mes bras.

Kaïs : J'ai hâte de voir la petite sœur.
Moi : Moi aussi mon cœur.
Davi : Papa est ce qu'on pourrait regarder un film tous ensemble sur le canapé comme on fait d'habitude ? Demain on a pas école.
Neymar : Si tu veux, va te mettre en pyjama alors.
Moi : Tu vas avec Davi, Kaïs.

Ils partent tout les deux, je regarde Neymar.

Moi : Tu aurais pas des habits à me prêté pour la nuit ?
Neymar : Si viens avec moi.

Je me lève et le suit jusqu'à sa chambre, il va a son placard, il me tend un tee shirt et un jogging, je me déshabille.

Neymar : Effectivement tu n'es pas pudique.
Moi (sourit) : Tu m'as déjà vue nue non ?
Neymar (sourit) : Oui, mais souvent les filles demande à ce que le gars sorte pour ce changer.

Je m'habille, m'approche de lui en souriant.

Moi (sourit) : Moi c'est moi, je suis unique.
Neymar (sourit) : T'es étonnante parfois, tu m'as surpris à l'hôtel.
Moi : Je sais, je l'ai vue à ton regard.
Neymar : T'es une fille à part, c'est la première fois que je vois une espèce dans ton genre.
Moi (rigole) : Ah et quel genre d'espèce ?
Neymar : Je sais pas trop expliquer ça.
Moi (sourit) : Parce que je suis pas le genre de fille, intimidé, déstabilisé ou même impressionnée par toi ?
Neymar : Entre autre et je comprends Kylian maintenant.
Moi : C'est à dire ?
Neymar : T'es belle aussi bien mentalement que physiquement, t'es féminine et sait être sexy mais tu as ce côté masculin, je sais pas comment te dire mais t'es toi même quoi, et il manque ce genre de personne dans les vies de célébrité, ce qui permet de nous sortir de notre univers et ce sentir normal.

Je m'assois sur le rebord du lit, il s'installe à côté de moi.

Neymar : Il a de la chance de t'avoir eu avant qu'il ne soit trop célèbre, ça lui a permis d'équilibrer avec sa vie pro, tu lui as permis de rester les pieds sur terre.
Moi : Tu as jamais rencontrer une fille qui te fait sentir toi même et pas le footballeur célèbre ?
Neymar : Si, toi.
Moi : Avant moi, personne ?
Neymar : J'ai commencé très jeune, j'ai rencontrer beaucoup de personne par intérêt aussi bien en amitié qu'en amour comme toute célébrité et c'est sûrement la raison pour laquelle on ce fait plus confiance entre nous parce qu'on ce comprend, j'ai eu des périodes où j'ai pris la grosse tête parce que je gérer plus du tout la médiatisation mais avec le temps on apprend, j'ai eu des copines sincère avec moi mais dans leur yeux ou leur comportement y'a toujours ce rappelle que je suis célèbre. Ça m'arrivais d'avoir des plans cul et les filles soient impressionné par moi alors que j'ai rien d'impressionnant, on dirait que je suis surnaturel.
Moi (sourit) : Je confirme t'es pas hyper impressionnant, mais t'es canon, et t'as un regard perçant qui peut intimidé beaucoup de fille.
Neymar : J'ai un regard normal.
Moi : Oui mais ton charme et ton regard peut déstabiliser et ta célébrité c'est sure n'aide pas parce que ça te rend quelqu'un d'important alors que sans vouloir être méchante, t'es pas non plus hyper important, t'es génial mais t'es pas non plus dieu.

Il me regarde en rigolant, je souris, je me met à califourchon sur ses genoux, il ce mord la lèvre inférieur et pose ses mains sur mes fesses.

Neymar : Les p'tits nous attendent.
Moi : Tu le sais que t'es beau et que tu as du charme mais tu te rends pas compte de l'effet que tu peux faire, t'es une bombe atomique tout entière, ton physique, ton mental, ton sourire, tes yeux, ta voix, et je peux te dire que ton accent et le fait que tu sois brésilien ça te rajoute du charme puissance 1 000.
Neymar : Os pequenos estão esperando por você, você tem sorte, caso contrário eu teria feito você amar a noite toda. (Les petits nous attendent, tu as de la chance, sinon je t'aurais fait l'amour toute la nuit.)
Moi (sourit) : C'est pas très sympa, je comprends pas ce que tu dis.
Neymar (sourit) : Dano. (Dommage.)
Moi : Parle français connard.
Neymar (sourit) : J'ai dit que les garçons nous attendaient et qu'ils allaient s'impatientés.
Moi : Mouais, ça c'est la traduction que tu veux dire.

Il me tire contre lui et m'embrasse tendrement.