Un regard - Tome 3 - Kylian Mbappé

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Je ne me lève pour rejoindre la chambre de Davi, je rentre dans sa chambre, il est installer dans son lit, je m'assois a côté de son lit, je caresse son crâne.

Davi : Pourquoi y'avait des bruits bizarre ?
Moi : Je dormais, j'ai sûrement ronfler, c'est ça que tu as dû entendre.
Davi : Peut-être, et pourquoi tu as changer de tee shirt ?
Moi : Je l'ai pas changer.
Davi : Si t'avais le tee shirt de tio et maintenant tu as celui de papa.

Merde, il est beaucoup trop attentif au moindre changement ce petit, je suis prise de cours, vite faut que je trouve une excuse.

Moi : Ah si, oui je l'ai changer, je me suis renverser dessus en voulant boire, c'est pour ça.
Davi : D'accord, c'est papa qui m'as couché ?
Moi : Oui, allez ferme les yeux et essaie de dormir.

Au bout de 10 min à lui caresser la tête et le dos, il finit par s'endormir, je me lève pour quitter sa chambre et retourner au salon, je soupire un grand coup et m'installe à côté de Neymar.

Moi : Tu pouvais pas faire un enfant débile toi ?
Neymar (sourit) : Pourquoi ?
Moi : Il a capter qu'il ce passer un truc pas net, j'ai été obliger de dire que je ronfler et que c'était ça les bruits bizarre qu'il entendait.
Neymar (rigole) : C'est toi qui a voulu qu'on le fasse, c'est bien fait si ça t'es tomber dessus.
Moi (sourit) : Connard, il a remarquer que mon tee shirt avait changer aussi, il observe un peu trop ton fils.
Neymar (sourit) : Il est intelligent comme moi, c'est pas mon fils pour rien.
Moi : Tu sais qu'il est pas à l'aise dans son corps ?
Neymar : Je sais qu'il ce trouve gros, mais comme je lui ai dit il n'a pas de raison de ce sentir mal, chacun est différent et à un corps différent.
Moi : À l'école ils ce moquent de lui.
Neymar : Il te l'a dit ?
Moi : Pas vraiment, mais il m'a dit que ses camarades lui disait qu'il est gros, donc j'en ai conclut qu'on ce moque de lui.
Neymar : Je pense de plus en plus à engager un professeur pour lui faire cours.
Moi : Tu n'as pas peur pour sa sociabilité plus tard ? Que ça le renferme sur lui.
Neymar : Non je connais un professeur brésilien qui fait des cours particulier en petit groupe.
Moi : Tu devrais en discuter avec lui, pour savoir ce qu'il en pense et ce qu'il veut.

Il me sourit, je me blottis dans ses bras, il m'enlace.

Moi : Ça me fend le cœur pour lui, c'est un amour, c'est vraiment un bon garçon, on voit que malgré que tu est peu de temps pour toi, tu n'as pas délaissé son éducation.
Neymar : Mon fils c'est ma vie, le foot passe après lui, c'est mon unique enfant et je veux le meilleur pour lui.
Moi : J'adore la façon dont il te regarde, il te regarde avec fierté et admiration, c'est comme si il était amoureux de toi.
Neymar (sourit) : C'est normal je suis son père, puis moi aussi je l'aime.
Moi : J'aurais aimais que Kaïs regarde Kylian de cet façon.
Neymar : Quand il verra des vidéos de son père, il le regardera de la même façon.
Moi : Tu pense que Kelyana me verra comme son modèle plus tard ?
Neymar : Elle voudra être comme toi et te recopier, t'es une bonne maman et elle voudra plus tard être la même maman que toi.
Moi (sourit) : T'es adorable, je t'aime.
Neymar : C'est la vérité.
Moi : J'espère que tu auras raison.
Neymar : Évidemment que j'ai raison, je suis Neymar, j'ai toujours raison.

Il me regarde fièrement, je rigole en posant ma tête sur son pectoraux et regarder la télé. Mes paupières finissent rapidement par se faire lourde.