Un regard - Tome 3 - Kylian Mbappé

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Je me lève en essuyant mes yeux, je retourne au salon, il y a plus une seule lumière, je m'assois à ses jambes.

Neymar : Ça va pas ?
Moi (pleure) : J'arrête pas de penser à lui, tu veux pas dormir avec moi ?
Neymar : Si ça peux te rassurer aucun soucis.

Il ce relève, on ce lève, je lui prend la main pour l'emmener dans la chambre avec moi, j'allume la lampe de chevet et m'installe au lit, il ce déshabille, une fois en caleçon il rejoint le lit et s'allonge à côté de moi, j'éteins la lumière, il attrape ma main pour enlacer nos doigts.

Neymar : Tu peux dormir dans mes bras si tu veux, si ça peux t'empêcher de penser à lui en ayant une présence contre toi.

Je souris, je me blottit dans ses bras pour dormir confortablement.

Neymar : Tu veux que je te raconte une jolie histoire ?
Moi (sourit) : Oui je veux bien.
Neymar : Alors ferme les yeux, écoute ma voix et surtout imagine dans ta tête cet histoire.

Je ferme les yeux en souriant, il me raconte son histoire tout en me massant le crâne, il ce met aussi à chantonner en portugais, je suis bien.

Je me réveille, je suis dans ses bras, j'ouvre les yeux mais ne bouge pas, il dort encore, j'observe ses nombreux tatouages sur le torse, cou, bras et main qui sont à ma vue, je dessine le contour de l'aigle qu'il a sur le pectoraux en frôlant sa peau, je regarde le lion qui est dessiner sur son poing, ils sont tous très jolie, je me relève un peu pour le regarder dormir, je souris lui aussi est beau, je repose ma tête contre lui tout en caressant le lion sur sa main.

Je le sent bouger, je stoppe ma caresse, il s'étire, je le regarde, un grand sourire apparaît sur ses lèvres, je lui souris, je décide de rester blottit contre lui.

Neymar : Tu vas bien ? Bien dormis ?
Moi : Ça va et toi ?
Neymar : Super, je suis en pleine forme.
Moi : Ta petite histoire et ta berceuse m'ont bien aider à dormir, j'ai dormis comme un gros bébé.
Neymar : Je suis super content alors si ça t'as aider.
Moi : J'adore de base t'entendre parler portugais mais je suis fan aussi quand tu chantonne en portugais.

Il me caresse le bras en ce remettant a chantonner en portugais, je souris.

Moi (sourit) : Te amo.

Je pose ma tête à côté de la sienne, il tourne la sienne vers moi, on reste planté à contempler le visage de l'autre quand il m'embrasse, je le laisse faire puis le repousse.

Moi : Arrête. Je veux pas.
Neymar : Une dernière fois, du sexe d'adieu !

Je le regarde, il pose ses mains sur moi pour me caresser, je ne dit rien, je le fixe juste, je dépose un baiser au coin de ses lèvres.

Moi : Désolé je cesse de pensée à ce qui s'est passer, je peux pas, ta famille m'as manquée de respect et toi aussi, je te remercie quand même d'être rester ici avec moi.
Neymar : Donc tu préfère retenir un jour ou ça c'est pas bien passer avec moi que de retenir des mois ou j'ai été la pour toi jour et nuit ? Ou je t'ai écouté, rassuré ou j'ai juste été là pour toi et pour tes enfants ? De tout ça tu préfère retenir un événement négatif ?
Moi : Bah c'est plus facile de retenir une faute.
Neymar : Je te reconnais pas Loréann, tu donnes toujours une chance aux personnes et la tu stoppes tout.

Je me relève, on va s'embrouiller à peine réveiller j'ai connue mieux comme réveil.

Moi : Tu l'as déjà eu ta chance, quand tu m'as humilié devant tes collègues et mon mari, t'avoir pardonner c'était ta chance Neymar, moi on me fait du mal qu'une fois ensuite c'est finit, je donne une chance qu'une fois, ne te plaint pas je te donne une seconde chance, mais en tant qu'ami, parce que je t'apprécie et que justement j'oublie pas tout ce que tu as fait pour moi et mes enfants, tu comptes énormément pour moi et pour eux, avoir mon amitié c'est la dernière chose que tu obtiendras de moi.

Il ce lève brusquement du lit, pour prendre ses affaires.

Neymar : Je m'en vais.
Moi : Neym s'il te plaît.
Neymar : Je t'ai consacrer tout mon temps libre et j'en ai peu, j'ai délaissé mon fils pour toi et tes enfants, je t'ai écouté te plaindre et me parler de Kylian à longueur de journée en espérant que je finisse par t'intéresser et que tu me donne un jour ton cœur pour que j'en prenne soin à mon tour mais en faite j'ai juste perdu du temps avec toi quand je vois comment tu me traites pour une simple faute, j'étais juste ta roue de secours en faite.

Ça m'attriste qu'il pense ça, je me lève aussi pour me placer devant lui.

Moi : Je sais et je t'ai jamais demander ou forcer à délaissé Davi, et t'as jamais été ma roue de secours, tu as été présent dans ma vie et quand tu aura besoin de quelqu'un je serais présente pour toi, c'est ce que font les bons amis.
Neymar : Les bons amis ne couche pas ensemble.
Moi : Tu trouveras une fille cent fois mieux, t'es vraiment quelqu'un de bien et d'extrêmement généreux, tu as beaucoup d'amour à donner à une femme, prend du temps pour toi et pour Davi.
Neymar : C'est pour ça que tu veux plus rien ? Parce que je t'ai consacrer trop de mon temps ?
Moi : Oui, il y a de ça, je veux que tu prennes soin de toi et Davi, je veux qu'il retrouve son papa sans qu'il ait à devoir le partager, je suis plus un fardeau et un poids pour toi, qu'une belle chose.
Neymar : Et bah tu te trompes, si t'étais un réel poids dans ma vie, j'aurais finis par te délaisser, je l'ai pas fait parce que t'es vraiment une belle chose pour moi.
Moi : Arrête, je te soule à parler sans cesse de Kylian, je le sais, tu me le dis pas mais je le sais.
Neymar : Je peux pas t'empêcher de ne plus parler de lui, ça te fait du bien d'en parler et ça t'aideras à faire le deuil.
Moi : Je suis désoler Neymar.

Il me regarde de haut et quitte la chambre. J'entends la porte d'entrée se claquer. Je souffle en m'asseyant sur mon lit, c'était la meilleure solution.