Je suis dans le bureau d'un gendarme.
Gendarme : Pourquoi êtes vous venu ?
Moi : J'ai tué un homme.
Gendarme : D'accord, pouvez vous tout m'expliquer ?
Moi : Il y a un an, mon mari a été renverser par une voiture, on m'as appeler pour me prévenir que vous aviez trouvez la personne en question, j'ai appris que c'était mon ex compagnon, j'ai été chez lui pour le tué.
Gendarme : Vous étiez en bon terme ?
Moi : Non sinon je ne l'aurais pas tué, quand on été ensemble, vers la fin de notre relation il été violent avec moi, il me menacer, j'ai jamais porté plainte car il m'as laissé tranquille ensuite, quelques années plus tard, je me suis fait renversé par une voiture, j'étais devenue amnésique, encore quelques années plus tard mon mari ce fait renverser, il décède de cet accident, je finis par retrouver l'amour, il nous a filmer pendant notre intimité et nous a menacer de rendre public la vidéo en sachant que ça aller me détruire, il a tenté de me violée et jusqu'à la dernière minute il m'as menacée de me tuer, ça fait des années qu'il est sur mon dos, après mon mari il aurait toucher à mes enfants, j'étais obliger de le faire pour nous protéger, malheureusement j'ai même pas de preuve, c'est les seules preuve que j'ai c'est un enregistrement téléphonique que j'ai eu avec lui.
Gendarme : Vous l'avez avec vous ? Avez vous aussi cet fameuse vidéo ?
Moi : Oui dans les messages.
Gendarme : Je vais prendre votre téléphone.
Moi : Euh.. Y'a des photos intime dedans.
Gendarme : On est obliger de fouiller partout, on en voit tout les jours.
Moi : Oui mais, vous savez que je suis la femme de Kylian Mbappé, on s'est échanger des photos intimes et j'en ai échanger avec mon nouveau compagnon Neymar, c'est pas des photos de n'importe qui.
Gendarme : On en fera rien de ces photos, ça ne sortira pas de votre téléphone, sauf cet fameuse vidéo.
Moi : D'accord.
Gendarme : Comment l'avez vous tué ?
Moi : Avec un couteau dans sa cuisine, je lui ai planté à la poitrine.
Gendarme : On va vous mettre en garde à vue et dès demain matin vous serez transférez en prison en attendant votre jugement, les visites seront autorisés dès votre transfert, je vous conseil de faire appelle à un avocat, étant donner que vous, vous êtes dénoncé, il y a de grand chance que votre condamnation soit adoucit.
Moi : Je peux appeler mon compagnon ?
Gendarme : Oui, je vais vous laissez seule.Il ce lève et part du bureau, je prend mon téléphone et cherche son numéro pour l'appeler.
Neymar : Comment tu va ?
Moi : J'ai besoin d'un avocat, tu peux me trouver ça s'il te plaît ?
Neymar : Oui t'inquiète pas, je gère ça demain.
Moi : Merci beaucoup, je te remercie d'être là depuis le début.
Neymar : C'est normal, comment va ce passer la suite ?
Moi : Je suis en garde à vue et dès demain je part en prison.
Neymar : On pourra venir te voir ?
Moi : Oui dès que j'entre en prison j'ai le droit à de la visite.
Neymar : Ok, je viendrais te voir demain avec l'avocat après l'entraînement.
Moi (pleure) : Tu me lâche pas hein ?
Neymar : Non mi bella, je serais toujours là pour te soutenir, je viendrais te voir le plus de fois possible.
Moi (pleure) : Merci, tu peux prévenir les parents de Kylian et Aly ?
Neymar : Ouais je vais les appeler.
Gendarme : C'est finit raccrocher maintenant.
Moi : Je te laisse, dit aux enfants que je les aimes.
Neymar : Je leurs dirait, à demain, je t'aime.
Moi : Je t'aime.Je raccroche, il me prend mon téléphone, je me lève, on m'emmène dans une espèce de cage ou on m'enferme avec d'autres personnes, je m'assois à l'écart des quelques autres personnes, même si je sent leurs regards sur moi, j'ai rien d'une criminelle et pourtant j'en suis une.
Je suis dans ma cellule j'ai été transférer, je me retrouve avec une femme un peu plus âgée que moi, elle me regarde sans rien dire, je ne suis pas à l'aise, c'est pas moi d'être ici.
... : Je te connais, je t'ai déjà vue.
Moi : Je m'appelle Loréann et toi ?
... : Ah mais voilà, t'es la femme de Mbappé ?
Moi : Euh.. Ouais c'est moi.
... : Pourquoi t'es la ?
Moi : Homicide volontaire.
... : Et bah avec ta gueule d'ange et tout le pognon que t'as, je sais pas ce que cet personne t'as fait mais tu t'es foutue dans la merde.
Moi : J'ai tué l'assassin de mon mari.
... : Respect, tu prouve aux petits connards qui t'insulter que tu l'aimais vraiment, ça va leur faire fermer leur gueule. Je m'appelle Sidney, enchantée.Elle me tend sa main, je la prend pour la serrer, je m'assois sur mon lit.
Moi : Ça fait longtemps que t'es là ?
Sidney : Ça fait 5 ans.
Moi : Tu as fait quoi ?
Sidney : J'ai tué deux personnes et je les ai découper en petit morceau.Je ne dit rien, j'ose pas trop la regarder.
Sidney : C'était comme toi, vengeance personnelle, j'ai reproduit ce qu'ils ont fait à mon enfant.
Moi : Tu as pris pour combien ?
Sidney : 10 ans, mais je m'en fous, j'ai plus personne, plus de famille, plus d'amis, ils m'ont tous salement lâcher.
Moi : Je suis désolé.
Sidney : Je veux pas de ta pitié, j'espère que tu l'as bien fumer celui qui a tué ton mari.
Moi : Il a eu le temps de souffrir avant de mourir et c'est une satisfaction. Je l'ai fait pour protéger mes enfants et me protéger.
Sidney : T'es une bonne mère, je l'aurais fait aussi à ta place, j'espère que les jury prendront en compte cet élément, je t'ai déjà vue en interview, t'es quelqu'un de bien.Elle fouille dans son bureau et en sort mon livre qu'elle me tend.
Sidney : Belle histoire d'amour, je peux avoir un autographe ?
Moi (sourit) : Oui bien sure.Je prend le stylo qu'elle me tend et écrit dessus « Pour Sidney ma coloc de cellule » puis signe de mon nom, je lui redonne, elle le regarde en souriant.
Sidney : Tes enfants sont adorable.
Moi : Merci beaucoup.
Sidney : Tu as du soutient ou pas ?
Moi : Oui.
Sidney : Neymar ?
Moi (sourit) : C'est celui qui m'as le plus soutenue, il m'as jamais lâcher avec les parents de Kylian aussi, chaque jour qui passe je pense à lui, je ne cesse jamais de penser à lui, j'arrive pas à digérer son décès.Je me met à pleurer, je suis minable de me mettre à pleurer, elle va ce foutre de ma gueule comme pas possible, je vais passer pour une faible aux yeux de tout le monde.
Elle vient s'asseoir à côté de moi en me caressant mon dos.
Sidney : Je comprend ce que tu ressent, perdre son conjoint ou un enfant c'est exactement la même douleur, c'est encore frais son décès, mais dans quelque temps tu fera le deuil.
Moi (pleure) : Tu as réussit à faire le deuil ?
Sidney : Non je l'ai toujours pas fait mais je m'interdis de pleurer, les séquelles seront à jamais en nous mais elle finiront par s'atténuer au fil du temps, allez viens on va ce promener un peu.
Moi (ce calme) : On a le droit de sortir de la cellule ?
Sidney : Oui, la journée on peu sortir de la cellule, on doit rester à l'intérieur, on a le droit de sortir dehors qu'au heure de promenade, aux activités et aux promenades on est mélanger avec les mecs.
Moi : Y'aura des mecs là ?
Sidney : Ouais, mais tu crains rien, la plupart des mecs sont des fans de foot, ils sont fan du grand Neymar, du coup ils feraient pas de mal à sa pote au contraire.
Moi : Parce qu'ils emmerdent les filles ?
Sidney : Ça dépend lesquels.Elle sort de la cellule, je la suit, il y a beaucoup de monde, je suit pas à l'aise, elle s'installe à une table, je m'installe avec elle, beaucoup me regarde, je baisse la tête pour me cacher.
Sidney : Ça sert à rien de te caché, ils finiront par savoir.
Quelqu'un me donne une baffe et s'installe à côté de moi.
... : Mignonne la nouvelle, tu la fais à combien la pipe ?
Il ce met à rigoler avec ses potes, je ne dit rien, je regarde Sidney.
... : Alors combien pour me faire sucer par cet bouche en or qui a sucer Mbappé ? A moins que tu fasse ça gratuitement.
Je vois tout les regards sur moi, je regarde le gars en question, faut pas que je paraisse faible et que je me laisse faire.
Moi : Va te faire foutre.
Je suis pas sereine de ce que j'ai dit, je vais prendre cher, il m'attrape à la gorge en me serrant, il me coupe ma respiration.
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Un regard - Tome 3 - Kylian Mbappé
أدب الهواة« Il a juste suffit d'un seul putain de regard pour que tu remettes tout en doute dans ma tête, que tu me retournes le cerveau et que je sois accro. » « [_Quelques mois auparavant..] ...: Madame Mbappé, hôpital de Paris... Moi (paniquée) : Vous voul...