C'est très court mais je voulais concentrer mon travail sur la description :)
Une main sur tes côtes et l'autre au niveau de ton visage. Kuroo avait son visage tout près de ton épaule, il chuchotait vaguement des paroles. Sa voix était vague, comme ses gestes et ses paroles. Il ne pouvait pas être plus clair, l'émergence d'une sensation au niveau de son torse. Il venait de boire un verre d'eau fraîche, mais sa bouche elle, avait le goût de miel. Ses yeux reflétaient ce miel. Ils étaient peu ouverts; sans efforts ils restaient fixés sur (T/p).
Lorsque tes bras trouvèrent leur chemin au niveau de son dos, la chaleur qui engouffrait sa gorge se répandue la où tes mains prirent place. Tes bras l'enroulait comme une couverture, cette dernière moelleuse, comme les matins d'hiver où il ne voulait pas se réveiller. Ses matins d'hiver où son lit est aussi réconfortant que ta présence. Au milieu et devant cette superette vous vous tenez. Kuroo avait tout son poids sur toi, ton poids sur lui, créant un support égal de vos deux corps. Il n'y avait personne dehors, personne dans la superette. Les néons blancs presque gris du magasin étaient votre seule source de lumière.
Kuroo dévia son regard sur le pigeon posé sur une barrière près du sol. L'animal est froid, aussi froid que l'atmosphère. Ses jambes sont les seules à ressentir le froid, le haut de son corps étant enveloppé contre le tien. Kuroo trouve réconfort dans ton cou au niveau de ton épaule. Toutes ses fois où il a vu son 'ennemi' et sa petite amie. Maintenant c'était lui. Le noir de son uniforme était invisible car collé au tiens, si il bougeait, le froid de cette soirée fraîche et froide le priverai de son réconfort. Ses lèvres ont pris confortablement place sur ton cou, elles cherchèrent d'abords tes clavicules discrètement exposés. Encore une fois, il est accueillis par de la chaleur, cette fois-ci celle du textile qui recouvra a peau et ton odeur pour toute une journée.
Après avoir trouver tes clavicules, la joue du capitaine de Nekoma se posa sur tes trapèzes, la connexion entre les deux était évidente. Tu pouvait sentir le muscle de sa joue molle se poser sur toi, tu savais que ses yeux s'étaient fermés a ce moment la; ton odeur et la sa chaleur corporelle maintenant sur tout son visage, cette odeur et cette chaleur avait envahit la zone, comme un sommeil mérité.
Le froid de ses jambes paralysaient Kuroo dans sa position, il continua de l'ignorer, pensant qu'elle ne serait pas gênante dans votre étreinte. Il pensa au geste. L'étreinte, c'est amical, amoureux, sensible. Comment un simple geste humain entre deux personne puisse s'accommoder a tellement de corps si différents. Beaucoup diraient que l'étreinte, le câlin est inférieur au baiser. Kuroo pensait le contraire, son geste favori étant l'étreinte. Pour lui il n'y avait pas plus affectif. En parlant d'affection, quand Kuroo pense au baiser ou le plus populaire bisous, il ressent comme tout le monde la passion et l'intimité de ce dernier. Mais, l'étreinte quand elle est affective et passionnée est tout aussi intime et secrète qu'un baiser.
Son ventre et ses hanches étaient accrochés au tiennes. Ces parties du corps qui au quotidien sont mécaniques et vides de sensations. Maintenant la chaleur l'atteint au niveau du ventre et de ses hanches. Les tiennes, emboités comme un puzzle sur les siennes.
Quand il entendu a nouveau le bruit des néons du magasin, accompagnées des réfrigérateurs et de leurs moteurs sourds, Kuroo comprit qu'il revînt a la réalité. Il venait d'avoir sa dose d'amour pour la soirée, quand il en aura encore envie, il pourra t'étreindre dans ses bras. Pour encore une minute, ou cinq minutes il rêvera encore et se laissera prendre par un sentiment de chaleur.
fin
Soft Kuroo
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ʜᴀɪᴋʏᴜᴜ x ʀᴇᴀᴅᴇʀ (Fʀ) → oneshots
Fanficᴀssᴜʀᴇ ʟᴇ sᴇʀᴠɪᴄᴇ ! Haruichi Furudate II Haikyuu!!