Estreillia | Saison 1 - Le Nouveau Monde

- Chapitre 5 -

Après une longue, très longue discussion entre FG et ses deux nouveaux compères :

FG : Bref. Voilà comment je me suis retrouvée ici...

Corvo : Hm. Surprenant.

Edward : Ouais, tu penses à la même chose que moi ?

Corvo : Ouuuui.... Non en fait.

Edward : On devrait l'emmener voir les magiciennes de Than-

Corvo : C'est vrai que c'est le bon moment d'y aller. Je te signale là-bas que c'est le bordel. Et puis n'oublie pas que ce sont des Magiciennes. Elles ne vont pas nous aider gracieusement.

Edward : Les Assassins sont les alliés des Magiciens. J'te signale que la plupart des assassins à travers le monde se sont rendus au banquet de Thaned. On y est juste pas allé parce que moooonnnsieur avait le mal de mer.

Corvo : Oui bah excusez-moi mais faire des jours de voyage en bateau pour aller à un foutu banquet - NON -MERCI.

FG : ...Tous les éléments de ce monde, je le retrouve dans mes livres, alors il doit sûrement exister les mêmes héros ici que dans mes bouquins non ? Vous ne connaissez personne nommé Astérix, Obélix, Panoramix ?

Edward, Corvo : Non

FG : Aragorn ? Gandalf ? Legolas ? Gimili ? Saruman ? Boromir ? Bilbo Saquet ?.....

Edward, Corvo : Non plus

FG : Geralt de Riv ?! Yennefer de Vengerberg ?! Cirilla Fiona ?! Triss Merigold ?!

Edward, Corvo : ....ba non.....

Elle rumina dans sa barbe quelques injures

FG : Grr.......Mais c'est pas possible...

Puis, laissa tomber sa tête sur la table en signe de dépit.

Corvo: Par Contre Emhyr on le connaît de loin.

FG elle releva d'un coup la tête, et son regard transperça celui de Corvo.

FG : Comment ça ?

Edward : Bah tu l'as dit tout à l'heure "l'empereur Emhyr" tu parles de Emyrh Var Emeris non ?

FG : Oui, c'est exactement de lui dont je vous parle !

Edward : Tu veux aller le voir ?

FG : Aha, non, certainement pas...

Corvo : Tu nous rassures ! ...Disons que... les Assassins ne sont pas très appréciés par les Rois...

FG : Et bizarrement ça ne m'étonne pas plus que ça.

Edward : Je vais sortir dans la ville pour voir ce qui se trame, et si ça c'est cal-

Corvo se releva alors d'un gest vif de sa chaise et, avec un grand sourire, s'exclama d'un ton des plus ironiques :

Corvo : Ne te fais pas de soucis ! Reste ici au chaud je vais m'en charger !!

Il passa de l'autre côté des lianes :

Corvo : Et surveille bien notre invitée ! Dit-il avant de partir en courant, ne s'empêchant de rigoler