Il est aux alentours de 11h20 du matin lorsque je consulte mon téléphone au réveil. Tout est encore intactes ou presque dans ma tête alors je m'empresse d'écrire tout ça ~
Je suis donc en train de me balader dans un centre commercial avec une amie. Le rêve fait très Ghibli dans les couleurs, les "dessins", l'ambiance et en fond, j'entends une musique du voyage de Chihiro qui sort de je ne sais où mais qui se prête très bien avec l'endroit où je me trouve.
L'on se rend donc dans un magasin de montre avec mon amie à la recherche d'un cadeau pour mon père. Par curiosité on veut voir le coin des montres de luxe mais le vigile ne veut pas nous laisser passer sans autorisation. Quelle autorisation?? Accrochée au bras de mon amie, je demande à ce même vigile ; vous savez qui est mon père?
Donnez moi son numéro! Dit vigile en sortant son téléphone.
Inutile il est la je vais l'appeler moi-même.
Téléphone à la main je fait le numéro de papa en faisant semblant d'appeler et entendant sa voix à l'autre bout du fil je me met à rigoler.Je lui explique vaguement le petit canular que je viens de faire puis lui donne rendez-vous devant le centre commercial pour venir me chercher. Je me ballade encore un peu avec mon amie en attendant.
Celle-ci rentre chez elle et je vais attendre papa dehors. En face du centre commercial; quelques immeubles et il y a cette grande maison (style château ambulant) qui trône sur une colline avec l'herbe verdoyante, le ciel bleu, les oiseaux. Le temps passe et nous voilà en début de soirée. Il fait bon et le soleil ne va pas tarder à descendre. Terrasse du café en dehors du centre commercial avec des gens qui sirotent des cocktail et autres boissons, c'est le printemps, les cerisiers sont en fleurs. La maison, plutôt ce grand manoir, elle a des couleurs jaune, bleue, vert, rouge un peu pastel mais pas trop non plus. Quelques petits ventilos aérateurs tournent proches du toit en tuiles foncées et de la fumée s'échappe de quelque tuyaux et cheminées mais personne aux fenêtres. Elles sont noirs dû au manque d'éclairage intérieur sûrement. Ces mêmes fenêtres ne sont pas disposés de façon régulières, il y en a beaucoup mais elles forment rarement une ligne comme si des tats d'escaliers à l'intérieur se chevauchaient les uns les autres pour mener à ses fenêtres donnant sur le vide. La bâtisse doit faire 5 étages ou 6. Elle est d'autant plus imposante grâce à la colline sur laquelle elle se trouve mais aucun sentier apparant ne semble y mener. La maison intrigue. Je traverse la rue et me rapproche. Je l'observe comme si une plainte s'en dégageait. Je repense aux articles sur les enfants disparues depuis quelques années dans le pays; il y a en eu quelques uns dans ce coin du japon aussi et ça me fait frissonner. Aurais ce un rapport avec cette maison? Je continue de l'observer comme attirée par elle.
Au moment où je sors mon téléphone pour la prendre en photo, mon père arrive et je crois distinguer une silhouette à une des fenêtres. Discute avec papa et au moment de partir je lui demande d'attendre. Il faut que je fasses des photos. Mais nuit est tombée d'un coup et même le flash ne suffirait pas. J'en fait quand même en vain. Je me rapproche d'un escalier sous un lampadaire pour avoir un meilleur angle. Deux femmes descendent les escaliers.
Papa arrive vers moi: que fais tu?Cette maison elle a un truc. Belle et effrayante. L'atmosphère change, un peu plus pesante.
Mon père : allons y ca devient bizarre par ici... Il frissonne et moi aussi. On rentre. [*Il manque un bout là 😩 revient revient!!!]
Quelques jours après centre commercial, il y a un garçon dans un magasin qui me fait une blague donc je le pousse mais il me retient. Je le pousse encore plus fort et il trébuche donc je pars en courant mais je l'entend sur mes talons. Je cours me réfugier derrière un panneau tournant qui propose des cartes postales. Une fois tranquille je sors et va à l'extérieur mais tout d'un coup, c'est le trou noir. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis sur le dos et flotte à travers la ville, le long d'un trottoir et d'une longue clôture verte foncée. Mes cheveux frôlent le haut du trottoir. Non, personne ne me voit. Pas de voitures dans la rue et les gens à pieds ne semblent pas me remarquer. Puis, je m'arrête brusquement et mon corps se pose au sol. Je me redresse.
Une voix derrière moi: te voilà!
A ses mots je me retourne et j'observe la rue que je suis des yeux jusqu'à l'angle que je connais qui va au centre commercial ; et sur ma droite la cloture et...cette maison. Ou est mon corps? Car la c'est mon âme qui parle et qui flotte. Je t'aiderais à sortir de là me dit la petite blonde qui me fait face. A peine a-t-elle prononcé cette phrase qu'un coup s'abat sur sa tête.Et..... mon réveil se met à sonner, je dois me lever.
Mais pendant quelques secondes, les yeux ouvert dans mon lit, j'ai les images de cette blondinette. Elle est assise sur une chaise dans son jardin et une belle femme au cheveux platine se tient prêt d'elle. La fille sur la chaise a un chignon et le reste de ses cheveux elle demande à ce qu'ils soient rasé jusqu'à sa cicatrice. Là où elle s'est prit le coup. Le sang a séché mais il brille encore. Son visage est celui de Jess, ma colloc. Tu es sûre?, demande la femme.
"Oui, je vais la sortir de la."Je regarde l'heure, 11h17. Je me mets sur le dos et remet tout rapidement en ordre pour écrire ça rapidement.
Une partie du reve me revient à 12h16 quand je fais couler mon bain. Je pense à une amie qui est en Nouvelle-Zelande avec son homme pour un an et l'araignée me revient en tête.
[*partie manquante plus haut!!!!!]
Quand je suis rentrée avec mon père après avoir tenté des photos de la maison, j'ai cru voir une araignée dans ma chambre. Une grande araignée bleue avec du rouge sur le dos et des cercles jaunes qui entourent chaque articulations de ses pattes.
Dans la salle de bain, je fais couler l'eau et suis enroulée dans ma serviette. Je ne veux pas mettre de mousse cette fois. L'araignée attend. Il y a déjà quelques centimètres d'eau dans la baignoire et j'ai oublié quelque chose dans ma chambre. En appuyant sur la poignet de la porte pour commencer à l'ouvrir, l'araignée se glisse en dessous et je pousse un cri, observe sa trajectoire et me mets dans la baignoire espérant qu'elle ne va pas entrer. L'araignée se dirige vers cette baignoire et y glisse à cause du jet d'eau. Je sors rapidement, ouvre et referme la porte espérant sur la bête finira noyer. Dans ma chambre, porte ouverte j'ai le cœur à 100 à l'heure et en me retournant vers la salle de bain l'araignée est déjà dans le couloir en direction de ma chambre. Elle a quoi cette bête ??? Je pousse un autre cri et saute sur mon lit, avec ses 8 pattes à mes trousses. Je redescend parmi la pile de coussins sur mon tapis au sol et tombe en arrière voyant l'arthropode à mes pieds. Nouveau cri allongée au sol et je secoue le pied. J'avais une douleur dans pile là où la bestiole a piqué la fille du rêve. Je crois que je vais vite sortir de mon bain... Pour que ce moment du reve me revienne pile quand je suis dans la baignoire c'est que cette araignée doit m'attendre devant la porte.
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♠Ma fabrique de rêves♠
SpirituellesCeci est un recueil qui va répertorier les rêves que je fais. Oui oui! Vous allez pénétrer tout droit dans mon imagination et dans ce que ma tête produit pendant que je dors. J'ai toujours mon carnet sur ma table de chevet et même si ça arrive au b...