chap 1

18 0 0
                                    

Comme les feuilles des arbres qui tombent pour ce préparer à l'hiver. On a déjà sentis ses sentiments éphémère qui nous hante.

On a déjà eu cette amour autrui au point d'oublier le temps, cette solidarité qui nous fait revivre ces moments passé et cette liberté qu'on peut ressentir quand on explore.

Cependant ces bien ont aussi son Némésis. On a déjà eut cette haine contre nos congénères au point de souhaiter leur mort. Cet flamme de la vengeance qui nous embrase par la perte de nos paire et celle-ci qui nous fait oublier les bon moment jusqu'à nous faire sombrer dans la folie et de mettre son monde a feu et à sang pour arriver à son dessein. Mais surtout le pire de tout les péché de ce monde; la jalousie qui nous ronge au point d'attaquer celui qui a ce qu'on a pas.

Et moi, j'ai déjà chacun de ses crimes dans ma peau par le destin des dieux.

*

De l'autre côté de la rivière séparant le bidonville de Siero et les hautes villes de Deldarya, un groupe de jeunes voleurs se faufilaient entre les ruelles propre des rues bourgeoise. La chef du groupe, Celeste, pointa du doigts des maisons isolé, idéal pour le vol.

Après avoir fouillé les maisons chacun de leur côté, ils revenèrent tous avec de l'or plein les sacs. Enfin, tous sauf les plus jeunes qui sortirent juste des objets à faibles valeur et juste deux pièce d'or.

"On va rien gagné avec eux ! S'écria un des compagnons.

- Ils sont déjà revenus en vie avec de quoi vendre c'est le principal ! Dit la chef. On se tire d'ici avant que les flics arrivent."

Elle observait un instant les lieux et renonça à l'idée de passer par les toits, trop dangereux pour les jeunes.

"On va passer une partie de la route sur terre."

Après avoir fini leur discussion, la voix d'un agent les fis sortir de leur pensé.

"Il y a le Corbeau et sa troupe!

- Merde on se tire."

En courant dans la longue rue de la bourgeoisie, ils evitèrent les passant et les gardes à leur trousse, malgré leur appel à les arrêter, ils tournèrent dans une petite ruelle pour directement grimper sur une échelle pour aller sur les toits des maisons et continuèrent leur courses.

"Je vais les attirer vers moi pendant ce temps parter de l'autre côté du fleuve ! S'écria Céleste.

- Ne te fait pas chopé ! Je veux pas que ton père nous tue pour ça."

Alors qu'ils descendirent des maisons en partant dans la rue. Les flics la virent et continua leur poursuite dont un réussi à tirer dans la côte de la femme qui frôla un homme au passage dans sa course. Alors que les autres fuyait dans le fleuve, Céleste tourna a gauche et tomba soudainement dans un cul de sac.

"Merde.

- On te tiens Corbeau !... Ou plutôt une Corneille. Dit un en voyant la taille et les hanches de la jeune femme.

- On peut faire une exception pour ce crime si tu nous offre un autre service. Dis un qui s'avança vers elle et allais toucher sa taille.

- Tiens ton autre service connard! Annonça-t-elle en lui frappant au visage pour plonger dans le fleuve et réussi à partir de l'autre côté de la rive malgré le courant et partis rejoindre les autres."

En se faufilant jusqu'à la base, elle sentit sa taille la brûlé par la blessure qu'on lui a offert durant la course.

Putain.

Last KeeperOù les histoires vivent. Découvrez maintenant