Je cours à en perdre haleine. je sors en trombe de l'établissement. Pile à ce moment là, une explosion spectaculaire se déclenche. Je me retourne mais est projetée plus loin à cause du choc.
je me relève précipitamment.
-(t/p) : Et merde ! Mes collants sont foutus !
(imaginez qu'ils sont déchirés)
j'enlève rapidement la poussière de mes vêtements et relève la tête pour constater les dégâts.
L'établissement (n/e), commence à brûler petit à petit. Je suis assez contente en somme ; je détestais y aller. Non pas que je n'aimais pas, simplement que...Arrête de penser à ça !
Soudain, comme si je venais de me prendre la réalité en face, je me précipite vers le bâtiment.
Ma sœur ! Je n'y avais pas pensé ! Ma chère sœur est sous les décombres si ça se trouve !
je cours en direction de l'explosion. Je passe sous des poutres en feu, des escaliers s'écroulent mais j'arrive à les enjamber. Je passe de salle en salle et constate qu'à chaque fois, les victimes sont nombreuses.
A un tournant, je tombe nez à nez avec mon professeur de math.
-(t/p) : Monsieur ! Vous tombez bien ! Aidez moi à prévenir les pompiers et aider un maximum de victimes ! Ma soeur est dans doute coincée sous une dalle et je ne sais pas où elle est !
Il me regarde, interloqué.
-(p/m) : Mais enfin (t/p)...Sauve toi ! On s'en fiche des autres du moment qu'on sauve notre peau ! Vite, file, vas-t'en ! Pendant qu'il en est encore temps !
Je reste là, abasourdie par son discours. Quelle...
-(t/p) : ENFLURE ! Vous seriez prêt à sacrifier vos élèves et vos collègues pour votre propre intérêt ?! Vous me dégoûtez ! Vous ne vous en sortirez pas comme ça ! Je vous le promet !
-(p/m) : Je n'avais pas prévu qu'il y ait une survivante, c'est très embêtant..Il se caresse le menton, pensif en regardant dans le vide. Puis, se tourne vers moi.
-(p/m) : Tu sais quoi (t/p), tu vas peut-être m'être utile..
Il s'approche de moi lentement, très lentement. A chaque pas qu'il fait, il déboutonne un peu plus sa chemise.
Je recule. Il a l'ascendance sur moi, et je ne sais pas si je pourrais faire tourner la situation à mon avantage.
Quand il eut fini de déboutonner sa chemise, et que moi je fus bloquée contre le mur à force d'avoir trop reculé, il appuya sur une espèce d'interrupteur greffé sur sa peau. Il était retenu par des fils violets semblables à des veines, reliés à une pompe translucide située sous la peau du prof.
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Ma vie chez les creepypastas
Fanfiction(t/p) est une jeune fille qui d'aussi loin qu'elle s'en souvienne à toujours été fascinée par les creepypastas. Un jour quand elle était petite en rentrant de l'école, elle manque de se faire renverser par une voiture. Elle grandit en se posant une...