PDV Tristan.
Steven : Tu viens vraiment de me giffler ?!
Marine : Regarde ta joue dans un miroir et tu auras ta réponse.
La giffle qu'il s'est pris était vraiment épique.
Steven : Tu as osé ?!
Marine : Tu es le pire macho que je connaisse.
Steven : Tu n'aurais pas dû faire ça, dit-il en s'approchant dangereusement d'elle.
Au moment où il lance son poing vers son visage, je m'interpose entre eux et arrête son poing dans sa lancée.
Steven : Qu'est-ce que tu veux toi ?!
Moi : Tu allais la frapper ! Elle ne mérite pas un mec comme toi.
Steven : Elle ne mérite pas non plus un mec comme toi.
Moi : Je n'ai pas dit le contraire.
Marine : Steven, Tristan et moi sommes... Juste amis...
Oui. Bien sûr. Fallait s'en douter.
Steven : Et bien, même en ami, il ne te mérite pas non plus.
Marine : Quand tu parles comme ça, j'ai pas l'impression de reconnaître la personne qui a écrit les poèmes. Tu me fais plus penser à un gros égoïste imbu de lui même.
Steven : Et pourtant, c'est bien moi, le poète.
Moi : Mais oui... Bien sûr, dis-je d'une voix très basse et très sarcastique.
Marine se tourna vers moi.
Marine : Tu as dit ?
Moi : Rien.
Marine : Si, tu as dit quelque chose. Dis-moi, je veux savoir.
Moi : Je ne peux pas te le dire. Je suis désolé...
Marine : Je sais bien que tu n'es pas désolé.
Steven : Tu vois, il ne te mérite pas...
Marine : Je t'avais prévenu que si tu n'étais pas content, tu devais te taire ou partir. Donc comme tu as essayé de te taire mais que ça n'a, à priori, pas marché, je te demande de t'en aller.
Steven : Tu ne peux pas.
Marine : Pourquoi ça ?
Steven : Bien... Parce que... Parce que je suis ton poète et...
Marine : Oh ferme-la ! Je sais très bien que ce n'est pas toi le poète comme tu le dis si bien. Tu n'as pas du tout son style d'écriture et ta façon de parler, n'en parlons même pas.
Elle le savait d'avance ? Sait-elle aussi que le poète comme il dit, c'est moi ?
Steven : Je...
Moi : Casse toi, je le coupe.
Marine le pousse vers la porte d'entrée et au moment de le faire sortir, elle lui adressa une dernière phrase.
Marine : Et tu peux considérer qu'entre nous, c'est terminé...
Et elle claqua la porte.
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COLOCATION - Les 12 Colocs...
Ficção AdolescenteMoi ? C'est Manon Franco et j'ai presque 18 ans. Pour aller dans mon nouveau lycée, un des meilleurs du pays, je devais me trouver un endroit où loger. J'ai eu la chance de voir Jules, mon meilleur ami depuis l'enfance, qui m'a appris que lui-même h...
