Obsession Addictive T.1

Chapitre 28

Coucou tout le monde, j'espère que vous allez bien. Merci énormément pour vos commentaires et vos votes. Obsession Addictive est devenu très populaire et c'est grâce à vous donc merci ❤️❤️. J'ai aussi mis le gif en media parce que j'ai eu un petit problème technique alias buug ( les mises à jour sont de plus en plus pétée ! )

Bref, sur ce, bonne lecture.

Agents, hélicoptères, et les multiples voitures du FBI n'attendaient plus que le feu vert du directeur maintenant à leur tête, Taylor. Celui ci se trouvait dans l'une de ses voitures avec derrière, une petite fille dormant paisiblement. Armé de son talkie walkie, il s'exclama :

– Est ce qu'il y a du mouvement ?

– Non, il n'y encore aucun mouvement. Ils ne se doutent de rien.

– Bien.

Il était prêt, tenace et très bien préparer. Leur plan était infaillible et si il réussissait ce coup de maître, Taylor pourrait alors redorer l'image du FBI et gravir un, voir deux échelons. L'idée trépignait dans sa tête comme un hamster qui coure dans sa petite roue. Mieux fallait encore avoir des doutes, avec Bug, on peut s'attendre à tout. Et surtout, et le plus important à ses yeux : il aurait Heaton. Ça, c'était une certitude. Avec sa fille entre ses crochets, il l'aurait malgré tout ce qui pourra se passer. Et enfin, il s'expliquera.

– Il y a du mouvement capitaine ! Entendit il via son talkie.

Comme un réflexe, il dégaina aussitôt son arme quand il vit la porte de devant s'ouvrir.

– À mon signal, vous intervenez. Et n'hésitez pas à tirer.

Taylor jouait nerveusement avec son glock, prêt à ouvrir avec fureur la porte de sa voiture pour tirer. La colère l'envahissait doucement mais sûrement.

Le temps semblait passer horriblement vite pour les deux camps. Un silence de mort résidait dehors. La tension montait. Et malheureusement pour le jeune chef, tous ne se passerait pas comme il le voudrait à une ou deux choses prêt

Deux personnes sortirent alors de cette maison, mais ce ne fut ni Bug, ni Heaton. 

– Chef, ils ont un otage, qu'est ce qu'on fait ? S'écria le talkie.

– Merde !

Ce fut Salone, accroché à une Sec anxieuse, une arme sur sa tempe, prête à tirer au moindre mouvement. Son regard partit dans tous les sens pour bien analyser la situation. C'est alors que la russe croisa le regard du jeune chef, la haine parfaitement dépeinte sur son visage.

– Appelez les hélicoptères et tirez.

– Mais on risquerait de blesser l'otage.

– J'en ai rien à foutre. Une vie peut bien être sacrifié. TIREZ !

Toutes les armes se braquèrent sur elle. Elles ne purent avoir qu'un souffle avant qu'une orde de balles s'attarde sur les deux femmes, créant une fumée pas possible au sol. Taylor sortit de sa voiture, l'arme à la main, le sourire aux lèvres, les yeux pétillants, et la tête à demi rassuré.

Sauf qu'il déchanta très vite quand il vit dans le ciel, un hélicoptère noir opaque se dirigeant à l'arrière de la maison. Ses yeux bleus stupéfaits se dirigèrent alors vers la fumée dissipé et cru voir juste devant ses yeux, la mort.

– Tenez, fils de pute ! Hurla Bug en lançant une grenade, tandis que Heaton, tirait sur tous les agents qu'il pu exactement viser.

La grenade explosa faisant des centaines de mort au sein du FBI. Les lèvres de Heaton esquissa un sourire, malheureusement un peu trop tôt. Taylor avait eu le temps de se diriger dans sa voiture. C'est alors qu'il aperçu sa fille, le regardant droit dans les yeux, épouvanté, puis il dévia sur le visage de Taylor. Évidemment il ne pouvait pas tirer, sa fille y passerait.

Bug scruta alors Sec dans l'hélicoptère, comme pour se redonner une couche de courage, et il n'avait jamais vu la blonde comme ça auparavant. Elle était si terrifié pour lui qu'elle hésita même à dire au pilote de l'hélicoptère de partir. Salone, elle, pu vaguement apercevoir la fille qu'elle avait tant couvé, avec douleur

Un autre hélico, du FBI cette fois, se braqua derrière les deux hommes puis fit l'avertissement suivant.

– Ne bougez plus ! Par le FBI, vous êtes en état d'arrestation. Lancez vos armes, mettez vous à genoux, les mains derrière la tête.

Alors que l'on pourrait croire qu'ils ne se rendraient jamais, leurs genoux se baissèrent, leurs armes volèrent, et les mains se mirent. Heaton devait faire totalement confiance au plan de Bug. C'était la condition sine qua non pour récupérer sa fille. La respiration du hacker s'accélèrait. Pour la deuxième fois de sa vie, il ressentait une crainte lincinante, non pas pour lui, mais juste pour son bien aimé. Il ne se le pardonnerait jamais si son plan échouait.

– Heaton, fais moi confiance, on sauvera ta fille.