Chapitre 40

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⚠️⚠️ Coucou tout le monde. Je mets un trigger warning sur ce chapitre car il y a une scène explicite hot.

Ses lèvres pulpeuses, rosés et douces. Le soleil les enveloppant. L'amour s'invitant. Caroline l'embrassait passionnément. Elle manquait de souffle, les joues rosies mais Heaton ne voulait plus la lâcher et en quelques sortes, elle aussi ne voulait plus le lâcher. Cela faisait si longtemps.

– Calme toi Heaton ! On ne vas comme même pas faire ça sur une plage, si ?! S'insurgea t-elle en riant.

Son bikini. Son beau bikini blancs échancré sur les hanches et ses chaînes dorés. Le bruit des vagues sonnaient comme une douce mélodie aux oreilles du blond. Ses yeux bleus scrutèrent les environs avant recroiser ceux de sa femme.

– Il n'y a presque personne ! Et puis je rêve de sentir la sable chaud sur tes seins !

Celle ci ria bruyamment. Son beau rire sans retenue et sans artifice. Subitement, Heaton mit une main sur sa bouche. Elle s'arrêta. Cécilia s'était endormi, il ne fallait quand même pas la réveillé ! Le vent soufflait doucement et le soleil ne tapait pas très fort mais en mère attentionné qu'elle était, elle l'avait mariner dans la crème solaire. Aucun risque pour elle, donc.

La main du policier se retira. Il put alors voir le sourire espiègle de sa belle en bikini. Elle en mourrait d'envie. Et Heaton, sur ses désirs, n'était jamais très discret. Elle regarda son entrejambe en riant. Comme son mari, elle scruta les environs puis s'approcha de lui en dandinant les hanches. Elle dansait sur une musique audible rien que pour eux d'eux.

– Éteint ton téléphone et rejoint moi !

Éteindre son téléphone, une regle primordial qu'il honora pour être tranquille. Il alla prêt des vagues. L'eau étaient bonne. Caroline dansait toujours salace, et cette fois, son mari la rejoignit. Ce dernier fut happé par sa poitrine généreuse et dénudée. Il fallait qu'il le fasse maintenant au risque d'exploser !

Sa main l'empoigna. Il l'embrassa violemment, avec toute la fougue, la passion et le sadisme qu'elle aimait chez lui. Ses mains cendrés caressèrent sa tête blonde. Ils approfondirent leur ballet de langue. La chaleur prenait peu à peu possession d'eux. Peu importait les gens maintenant, ils y allaient avec la langue sans aucune gêne. Caroline lui enleva son maillot, laissant apparaître sa verge tendu comme une perche.

– Ouh... Sussura t-elle à son oreille... Déjà ?!

Espiègle comme toujours. Rien ne pouvait les arrêter. Le brune marqua son territoire en lui suçant la peau, puis jeta carrément sa culotte de bikini à la mer. Heaton ricana, le bleu de ses yeux étincelait au soleil.
Elle était si folle parfois ! Elle ne faisait d'ailleurs même plus attention à vérifier qu'il y avait des gens sur la plage. La sensualité dégageait de leur geste fougueux et rageant.

Caroline brûlait à l'intérieur, tandis que son mari le doigtait si bien. Le blond avait toujours su quel point toucher pour lui faire plaisir. Elle gémissait dans son oreille, sa langue venant lecher son lobe, sa main agitait sa verge avec dépravation. Heaton gémit à son tour, sa tête se fourrant dans le cou de sa femme. Il ne pouvait plus le supporter ! Elle le voulait maintenant ! Ayant l'habitude de se faire transporter le long de la volonté de Caroline, Heaton laissa sa belle lui enfoncer son sexe.

– Ah ! Aaaaah...

La grande main du blond admirait les courbes rondes de sa femme. Ses doigts se baladaient langoureusement sur son dos. Un coup de rein, puis deux, puis trois ! Aucune douceur dans les gestes, qu'une dévorante envie assommante d'asséner le plus de plaisir sournois à son partenaire. Alors qu'à l'extérieur, ils étaient doux et attentionnée l'un envers l'autre, c'était tout le contraire quand il couchait. C'était ce qu'ils aimaient. Être brutale, animale, revenir à l'état savage. Les doigts de Heaton pinçèrent les tétons de Caroline. Elle approchait de l'orgasme. Le blond lui rendit tous ses suçons au cou et à l'épaule avec appétit. Ça faisait mal, ça laissait des traces, c'était si bon. Les vagues leurs caressaient les hanches, le vent les faisait frissonné et leurs corps se donnait chauds. Coups de reins, coups de hanches, d'autres suçons. L'adrénaline dans leurs veines ne demandaient qu'à circuler plus. Les doigts de Heaton la caressa à son point le plus sensible. Caroline, au bord de l'extase hurla, enfonçant ses ongles sur les flancs de son homme.

– Heaton ! Hurla t-elle avant de sentir l'orgasme la transpercé.

L'orgasme arriva telle une bourrasque. Elle trembla un peu, deglutit puis laissa sa langue caressé celle du blond. Il n'en put vite plus.

– Ah ! Hurla à son tour Heaton, jouissant sur ses fesses, que l'eau emporta très vite.

Lui aussi trembla quelque peu. Il tenait fermement Caroline, il ne voulait plus la lâcher. Il l'admira en tenue d'Eve. Qu'elle était belle !
Ils s'embrassèrent avec passion. Ils se cramponnaient l'un à l'autre. Puis leurs lèvres et leurs souffles saccadés décidèrent de la fin de l'étreinte. C'est alors qu'ils remarquèrent les gens. Ils était nombreux, attroupés autour d'eux comme un troupeau de moutons.

Ils les observèrent comme des illuminés mais Caroline n'en fit rien. Sans aucune pression, avec un calme à coupé le souffle, elle sortit de l'eau. On avait une vu totale sur ses poils pubiens, ses fesses et ses seins imposants. Tout à la vue de tous.

Heaton, lui, fut beaucoup plus réticent. Rien que l'idée qu'il hurla juste devant ce petit monde le rendit blanc. Comment diable sa femme pouvait elle rester aussi sereine ? Lui était figé. Le comprenant, Caroline lui donna une serviette pour se couvrir. Caroline, comme un dernier doigt d'honneur à cette foule, s'habilla à la vue de tous, et les gens s'offusqua bien qu'elle ne mette pas de sous vêtements.

C'est alors qu'ils s'en allèrent et, malgré le promesse de revenir, ne revinrent jamais. C'était celà que lui rappelait ce baiser avec Salone. Ce passage magnifique et sauvage de sa vie. L'une des dernières fois où ils se feront l'amour avec passion avant que l'échéance arrive. Il avait l'impression de toujours entendre les vague en embrassant la russe, de toujours entendre son rire. Les vagues qui chatouillait ses hanches et sa femme dansante.

Mais ce sentiment s'arrêta, ainsi que ce souvenir, aussi vite que ce baiser.

Obsession Addictive T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant