La Gavroche ( KurapikaxREADER )

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SALUT LES GENS!!! Hun,hum... oui pardon je me calme. Donc ceci est un Kurapika X READER qui j'éspére vous plaira.

P.S: le dessin n' est pas de moi.

Je marchais seule dans la rue. Il devait être 23h. Un vent glacé souleva ma jupe et s' engoufras sous ma chemise. Il failli faire s' envoler ma gavroche et il engourdis mes doigts qui était sérrés autour de la poignée de l' étuit de mon violon.
Mon violon... c' était mon gagne pain. C' était tout ce que je possaidais. Mon violon c' était à la fois ma tristesse, ma joie, ma colère, ma soufrance, mon déséspoir. C' est avec lui que j' avait jouer encore ce soir sous les regards des passants dans la rue. Qui m' avait jeter quelque misérables pièces. C' est grâce à lui que je pouvais vivre.
Je vivais seule sous un pont. La journée je rend des services au gens en échange d' un peut de monnais et puis la nuit je joue avec mon violon. La Gavroche. C' est comme ça que l'on me surnome dans le coins. C' est à cause de la casquette que je traîne partout avec moi. Elle est perché sur ma tête du matin au soir.
J' arrivais à un carrefour. J' avait deux choix pour rentrer chez moi soit je prenais un chemin sûre mais trés long, soit je prenais un chemin trés court mais qui passait dans une ruelle étroite ou traîne souvent des personnes mal intentionés.
Je choisi le chemin court. Mais malheureusement qu'elqu'un m'attendais dans la ruelle.
"Salut poupée, qu'est-ce que tu fais toute seule dans la rue à une heure pareille ?
- Je rentre chez moi. Di-je en éssayant de passer mais il me bloqua le passage.
- Alors laisse moi te raccompagner ma belle. Je déglutis.
- M-Merci c' est trés gentils à vous mais c' est pas la peine. Je, J' habite juste là dis-je en pointant du doigt un endroit dérrière l' homme.
- Mais alors pourquoi tu viendrais pas avec nous ? Demanda une voie juste dérrière moi. Je me retournait et vis un colosse qui me barrais le passage. On pourrais te faire voir des trucs cool. Continuas-t'il.
- Mais puisque je vous dit que c' est pas la peine.
- Trés bien, si tu ne veut pas... le premier homme qui m' avait parlé sortis un couteau de sa poche et fit miroiter la lame à la lumière de la lune ...on vas te forcer.
Il se jeta sur moi pour me plaquer au mur. Sous le choc je lachais l' étuit de mon violon qui alla se fracasser par terre.
- Nooon !!! Criais-je mais le type plaquas son couteau sur ma gorge.
- Tu la ferme ou je t' égeorge, sale truie. "
Je senti les larmes me monter au yeux. Bien sûre cette situation ne m' était pas inconnus. Mais rien qu' au souvenir de la douleur que cela provoquait je ne pouvait retenir mes larmes.
Cette douleur qui te déchir en deux. Qui te transforme en animale avec une seule pensée : fuir.
L' homme ordonna à son complice de me déshabiller quand quelque chose vint le frapper au visage. L' homme qui me plaquais au mur lachas son couteau titubas avant de retrouver son équilibre.
Je me laissais glisser le long du mur, incapable de comprendre ce qui se passait, je me pris la tête entre les mains.
Une voie résonas à l' autre bout de la rue : " Laissez là tranquille.
- Non mais tu te prend pour qui hurlas l' homme au couteau.
- Ouais et d'ailleurs c' est pas tes oignons ce qui ce passe ici, alors vas voir ailleur si on y est ! Renchérit son complice.
- Je suis Kurapika Kuruta et je ne vous laisserez pas fait du mal à cette jeune fille.
- Ah ouais et bas c' est ce qu' on vas voire."
Mes deux agresseurs se jetères sur mon sauveur. Il ésquivas facilement leurs attaques. Puis donnas un coup de poing dans le ventre du plus gros qui crachas du sang avant de tomber dans les pommes. L' autre homme éssayas de l' attaquer par dérrière ave son couteau mais le dénommée Kurapika le désarma en lui donnant un coup sur le poignet avec ce qui semblais être un sabre en bois. Avec une autre de ses armes il plaqua l'homme au mur.
" Que je ne te renvoi plus jamais faire ça sinon je risque d' être moins gentils est-ce que c' est claire.
- Ou-oui.
- Alors maintenant dégage. "
Il le laissa partir, puis il vint vers moi posas un genoux à terre et me tendis la main. " Est-ce que çe vas ? Les larmes qui me mouillais les yeux roulèrent sur mon visage. Je souris et rėpondi
- Oui, merci. J' éssuyais mes larmes d' un revers de manche. Désolée c' est l' émotion.
- Mais non c' est pas grave. Il me pris la main pour m' aider à ma relever. C' était chaud et agréable. Puis il pris mon violon par terre et me dis.
- Vien je vais te raccompagner chez toi.
- Merci mais c' est pas la peine.
- J' insiste.
- Bon eh bien daccord... "
Aprés avoir travérsée la ruelle nous arrivâmes sur les quais. Je commençais à traverser le pont puis je m' agenouillais brusquement par terre.
"- Tu vas bien ? Me demanda Kurapika qui pensais que j'étais tombée.
- Oui, oui."
Je sortis un couteau de ma poche arrière et je le glissait dans la fente entre les deux dalles de béton. Puis je fit un mouvement de levier avec mon couteau. La dalle se soulevas sous le regard ébaïs de Kurapika. Je pris l' échelle de corde qui était planquée en dessous.
" - Mais... à quoi ça sert ? demanda Kurapika.
- Tu vas voir. J' acrochais la corde sur le rebord du pont puis je la jetais dans le vide.
-Tu vien ? Demmandais-je.
-Euh oui."
Je déscendi l' échelle suivie de Kurapika.
" Et voilas ! lançais-je quand il arrivais en bas.
    Mon chez moi se résumait à un sac de couchage poser sur une dalle de béton à coté un pile de livre me sérvai de table de chevet. Les trous qu' il y avait dans le mur me sérvai d'éspace de rangement.
    Dans ce trous là un chalumeau et une casserole pour la cuisine. Dans ce trous ci une petite bibliothéque, et dans celui-là mes vétements.
"C' est pas le grand luxe mais c' est chez moi. Je tournais la tête vers Kurapika qui réstais sans voi. Il avait les yeux écarquillés et la bouche entrouvérte.
- Ça vas pas ? Lui demmandais-je en penchant  la tête sur le côté pour voir sa tête.
- IL EST HORS DE QUESTION QUE TU VIVE ICI ! Hurlas-t'il ce qui me fit sursauter. Il s' avança vers mon sac de couchage et commença  à le rouler en boule. Puis il le fourra dans sa saccoche avec toute les affaires rangées dans le mur.
- Mais qu-qu'est-ce que tu fais ?
- Tu déménage.
- Moi ? Mais où ?
- Chez moi.
- QUOI !?
- Oui, il est hors de question que je laisse qu'elqu'un vivre comme ça sans rien faire.
- Mais... Je vais pas te déranger ?
- Mais non ne t' inquiète pas. Dit il en me souriant. Je sentais le rouge me monter au joue. Je détournais la tête, ce qui fit rire Kurapika.
- Allez vien.
- Dacord J' arrive. Dis-je en prenant mon violon."
Je le suivi jusqu' à chez lui. Quand nous entràmes je découvris un petit salon bien rangé. Une porte à droite menait vers la cuisine et une autre a gauche s' ouvrait sur un couloir qui menait à la chambre, la salle de bain et un bureau. Il posas mes affaires par terre avant de se diriger vers sa chambre.
" Fais comme chez toi.
- Euh... ou est-ce que tu vas ?
- Je vais préparer mon lit pour toi.
- Ah non hein ! Kurapika se retourna surpris, il ouvri la bouche pour parler mais je le coupais. PREMIÈREMENT tu me sauve d' une bande de sale pervers, DEUXIÈMEMENT tu m' acceuille chez toi et TROISIÈMEMENT tu me donne ton lit et moi je fais rien en échange pour toit ! Et tu crois que je vais accepter ça !? Non mais tu réve ! Je plongeait ma main dans la poche de la veste et en sortis ma bourse. Puis je là lançais à Kurapika avant de poursuivre. Si tu accépte ça je veut bien dormir dans ton lit mais sinon c' est hors des quéstion.
- Tu plaisant fit Kurapika en me lançant la bourse tu dormira dans mon lit POINT FINAL.
-JE VIEN DE TE DIRE QUE C' EST HORS DE QUESTION!!!!!!
- Trés bien au grand mots les grands les grands remédes. Il releva la tête avec un sourir malicieux sur le visage.         Il me pris par les épaules et poussa jusqu' à la chambre. Quad je fut à l' intérieur il se dépécha de sortire pour fermer la porte à clef. Je me jetais sur la porte. Pour l' en empécher mais il fut plus rapide que moi et je me heurtais sur le bois de tout de mes force.
-KURAPIKA KURUTA TU N' EST QU' UN GAMIN.
- Bon et bien moi je vais préparer le dîner. dit-il comme s' il ne m' avait pas entendus. Je ne le voyais pas mais J' entendait trés clairement qu'il étoufai un fou rire. Je sérrais les poings de rage quand j' eus un éclair de génie.
-Trés bien j' accépte.
- De quoi ? Demandais Kurapika avec une fausse innocence dans la voie.
- J' accépte de dormir dans ton lit.
- Ah enfin. Soupiras-t'il en ouvrant la porte.
- J' accépte à une condition. Il commença à refermer la porte mais je là bloquait avec mon avant bras et je me penchait vers lui. Nos visage n' était qu' à quelque centimétres. Je le vis rougire comme une tomate. Je dors dans ton lit si tu me laisse préparer le dîner.
- Rhaaaaaa, trés bien fit il faussement agacer en se laissant tomber sur le mur pour me laisser passer, mais ça a intérêt à être bon.
- Bien sûre. Dis-je en me précipitant vers la cuisine."
La cuisine, J' adorais cuisiner. La journée je rendais des services différent tout les jours mais il y en a un que je répète chaque jour : cuisiner pour l' orphelinat de Grâce Field House.
( Ceux qui ont la réf je vous aiment.) Avec Seur Krone on prépare le repas pour tous les enfants et chaque jours elle me donne une nouvelle astuce que je note dans mon cailler cuisine. Grâce a elle je sait préparer de délicieux plats à partir de trois fois rien. Quand J' ouvrit le frigo je découvri juste assé pour préparer (Ton/Plat/Preféré). Je sors les éléments du frigo et J' allume le gaz avant  avant de m' attacher les cheveux. C' est à ce moment là que je remarque Kurapika qui m'observe avec un sourir niais sur le visage.
" - Pourquoi Tu me regarde comme ça.
- Ah euh pour rien pardon. Il s' approcha de moi et rendis la main vers les ingrédients.
- Je peut t' Aille !
- J' ais dit c' est moi qui cuisine alors c' est moi qui cuisine.
- Dacord, dacord.
- Alors maintenant Bzzzzzzzz. Dis-je en ajitans les mains. Ce qui ne manqua pas de faire rire Kurapika.

Quelque minutes plus tard l' odeur de (T/P/P) embaumais tout l' appartement. J'ouvrit le four et pris le plat entre mes mains
" A TAAAAAAABLE !!!!!
- J' arrive fit Kurapika qui préparais son lit. Quand il entra dans la piéce il s'éxclamas
- Mais c' est (T/P/P) C'est mon plat préféré.
- Oh comme moi."
    Il s'assi en face de moi et commença à manger. Quelque minute plus tard il me proposais de voir un film.
"-Un fililme ? C' est quoi ça ?
- Non un film. C' est comme un livre mais avec des image.
- De quoi????????
- Laisse tomber tu verras le moment venus."
    Aprés avoir débarrassé la table Kurapika me dit de m' assoir sur le canapé pendant qu' il mettais une "casette dans la télévision".
J' ais rien compris. Puis il vint s' assoir à coté de moi et je me blottie contre lui. Il passa timidement son bras autour de mes épaules et me serra contre lui. Si J' avait lever la tête je l' aurais vu rougir mais J' étai concentrée sur cette télévision qui diffusait des images. Un titre apparus sur l' image et je lu avec difficulté :
"(Ton/Film/Préféré)
- Tu sais lire ?
- Oui pourquoi ?
- Non rien, je ne pensais pas qu' une personne dans cette situation savait lire.
- En fait c' est Osono ( ceux qui ont la réf encor une fois je vous aiment.)
qui m' as a pris à lire.
- Qui est-ce ?
- C'est la boulangère. Maintenant chut J' essaie de me concentrer." Kurapika souris et me passa une main dans les cheveux mais je n' y prétais pas attention trop concentrer sur la scéne qui se déroulait sous mes yeux.
Quand le filme fus fini je me tournais vers Kurapika et je m' apercus qu' il m'avait regardée pendant tout la durée du filme.
" C' est vraiment une manie chez toit de fixer les gens."
    Il me souris tendrement. Et avant que j' ais put comprendre ce qui se passait ses lévres se retrouvèrent poser sur les miennes. Elles étaient douces comme les ailes d' un papillon. C' était chaud, tendre, agréable, je me sentais en sécurités. Ici avec kurapika plus rien ne pourrais m' atteindre, ni le froid, ni la faim, ni les violeures et les voleurs.
Je voulais rester avec Kurapika pour toujours, je voulais que se baiser dure toujours.
    Mais malheureusement les douces lévres de Kurapika s' envolérent aussi soudainement qu' elles était venus. Il détourna le regard.
"- Pardon (T/P). C'était idio de ma part je n' aurais jamais dus faire ça. Je suis désolé."
Je m'assi sur ses genoux et pris sa tête entre mes mains je là tournais vers mon visage et posai mes lévres sur les siennes imitant maladroitement son baiser.
    Je sentais qu' il aurais voulut me rendre mon étreinte mais pour je ne sais quelle raison il résta immobile jusqu' à ce que je me sépare de lui. Puis il détourna le regard mais je les vit.
    Ces yeux était devenus rouge sang. On aurais dit deux rubis qui brillait à la lumière de la pleine lune.
" Kurapika, t-tes yeux... Je le senti se raidir à mes paroles. Ils sont....
- Pareille à ceux d' un monstre oui je sais.
- ...Ils sont magnifiques.
Il se retourna surpris par mes paroles. Et je vis qu' il avait les yeux pleins de larmes.
- C'est vrai, tu trouve ?
- Mais oui puisque je te le dis."
A ces mots je l' embrasait de nouveau et cette fois ci il me rendis mon baiser avec plus de fougue. Puis il déscendi lentement dans mon coup et chacun de ses bisou me fit frissonner. Puis il me séras contre lui. Et me murmuras à l' oreille
" Je t' aime (T/P)
- Moi aussi Kurapika."
    Il me pris dans ses bras et me soulevas pour me porter jusqu' à son lit. Là il m' assis  sur le lit et posas ses mains sur ma taille et m' embrassa encore une fois.

REBONJOURE LES GENS !!!!!!!! Hum hum.... pardon je me recalme. Alors comment avez vous trouver ma préstation ? Peut être un peut trop de répétition. Mais bon je pense que je me suis bien débrouillée.
2580 MOTS!!! Je crois que j'ai battue mon record.
Silvouplait laisser un commentaire ça fais toujour plaisirs.
Et si vous voulez un lemon pour la suite vous pouvez me demander mais je ne garanti rien (pour le lemon ce seras mon premier.) Je répéte  que si vous voulez voir un personnage en particulier ou une situation particulière n' hésitez pas à me demander. Sur ceux je vous laissent et à la prochaine.
Bonus : pour les fans de Kurapika.

Hunter X Hunter  Os  Par Une folle insomniaqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant