De la Haine à L'amour

Chapitre 1 : Le début de l'aventure

Une mélodie retentit tristement dans le vide.

Le jeune homme encore quelque peu endormis pousse un grognement agacé à l'entente de cet air aigüe qu'il connait que trop bien.

Il se lève finalement après quelques minutes à rêvasser pour éteindre l'infâme sonnerie.

Le silence envahit de nouveau l'espace, seulement quelques grincements de pas du jeune homme viennent embrumée le calme régnant dans son modeste appartement d'étudiant.

Il passe un main dans ses cheveux avant de la faire retomber sur son visage avec lassitude, il attrape son cellulaire à la recherche de quelconques informations futiles.

Quelques notifications s'affichent, toutes aussi inutiles les unes que les autres.

Ils les effaces rapidement lorsque l'une d'entre elle attire son attention,

Twitter
Réponse de @Pangloss_leboloss à...

Il ne prit pas même la peine de lire la suite que la notification avait déjà été effacée par ses soins.

Son pauvre téléphone se retrouva serré dans le poing du jeune homme déjà passablement énervé par la simple vue de ce "Pangloss_leboloss".

En effet celui ci partage des avis qui diffère beaucoup aux pensées du jeune homme, qui n'apprécie pas le fait d'avoir quelqu'un le reprenant sur divers bavardages.

Il pose plus violemment qui ne l'aurait souhaité son téléphone sur sa table avant de prendre de quoi manger,

Voyant l'heure le jeune homme attrape sèchement son sac avec son téléphone qu'il venait juste de poser pour entamer sa course jusqu'à son amphithéâtre.

Bienheuresement pour lui, il n'arrive pas en retard, il arrive même étonnamment avec un peu d'avance à en juger par toute la populace présente à l'extérieur.

Il rentre dans l'amphithéâtre et s'assoit un peu en retrait n'aimant pas particulièrement aller sympathiser.

Une fois ses affaires de sorties, il balaye du regard l'amphithéâtre qui entre temps c'est bien remplis.

Son regard est vite attiré par un groupe de personne discutant joyeusement devant lui, sans même sans rendre compte son regard s'accroche inexorablement vers une figure bien connue du jeune homme.

François-Marie d'Arouet ou plutot sous son pseudonyme, Voltaire.

Un nom et un visage loin d'être inconnus à ce cher Jean-Jaques qui connais assez bien son camarade.

À vrai dire Rousseau apprécie plus que bien son cher camarde Voltaire, quelqu'un d'assez aisé, alaise en société, plutôt bel homme, en bref le parfait exemple de son opposé.

D'ailleurs celui-ci pousse un soupir d'exaspération en voyant son ami Molière saluer Voltaire et son groupe avant de venir
joyeusement s'assoir à ses côtés.

Il simple hochement de tête en signe de salutation, Rousseau posa son visage dans ses bras en attendant la fin de son cours rythmé entre la voix monotone de son professeur, les exclamations désappointé de son ami sur divers sujets et sa contemplation de son camarade.

Enfin la stridente sonnerie annonçant la libération résonne dans tout l'amphithéâtre.
Aussitôt, tout le monde eût vite fait de ranger leurs affaires rapidement pour aller se nourrir.

Rousseau ne faisant pas exception à la règle part en courant lui aussi pour éviter de rester coincer dans les couloirs bondés.

Seulement, malheureusement pour lui, il ne vis pas quelqu'un passer devant lui et le percute de plein fouet.