Chapitre 4

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   Après une journée assez mouvementer, j'arrive devant son bureau et après être annoncer par ma gouvernante (ce qui peu perturber), j'entre dans la "demeure" de cet Apollon.

- Bien le bonsoir Mademoiselle Bianchi ! Dit-il en pliant le manche de sa chemise où l'on peut voir ses avants-bras

- Bon ... Bonsoir ! Dis je d'une voix hésitante

- Je vous en pris, en me donnant le contrat.

Je le feuillette en diagonale pour ne pas perdre de temps. Je lis des choses dans laquelle je me demande si il est vraiment nécessaire de le mettre dans ce contrat.

- Pour certains points qui n'est pas écris, je vous pris de bien les respecter. Je voudrais que vous respectiez notre accord pour ce qui est de donner aucunes informations sur notre famille et mais aussi de la votre. Donc une grande discrétion de votre part.

- Bien !

- Par la suite, les enfants sont autonomes mais ont une gouvernante pour assurer leur emplois du temps. Pour ce qui est à faire des devoirs, je pries de pas en donner ou de leur donner des révisions ou encore de la lecture.

- Très bien. Je leur donnerais des devoirs si cela m'enchante. Ce sera particulièrement des exercices d'entraînement pour les contrôles ou des exercices qui n'ont pas été terminés en classe.

- Je ne pense pas que cela serait nécessaire.

- Vous n'avez pas à me dire sur l'organisation que j'ai pour ce qui est des enfants. Par ailleurs, ils commenceront les cours à huit heure précise avec une pause de deux heures pour le déjeuner et terminerons les cours à quinze heures pour qu'ils aient le temps de se reposer, de prendre le temps de goûter, de faire du sport, de sortir dans les jardins et etc.

- Je vous signale mademoiselle, que les cours en France sont de neuf à seize heure. Je ne changerais pas d'avis sur ce sujet.

- Monsieur, les enfants décrochent plus facilement quand en plein après-midi. Le cerveau capte que quarante minutes d'un cours. C'est pour cela que je les fait arrêter les cours plutôt, avec mon accent beaucoup plus prononcer.

    Il ouvre la bouche et ne dit rien. Je le regarde avec un air furieux et le fait comprendre qu'il n'aura pas le dernier mots sur ce sujet là. Je signe ce contrat avec une note disant: « Je ne renoncerais pas à MA propre organisation. »

***

- Tu crois ça !? Il m'a demandé de s'adapter à l'école française. Dis-je à ma meilleur amie

- Humm ! Je crois ma petite que tu as flashé sur cet apollon !

- Non. Je pense que c'est le faite que l'on se perturbe mutuellement car nous sommes différents et que le ...

- Je crois que si, à entendre ta voix !

    La, je bouillonnes. Je ne m'intéresse pas à mon employeur ni même à ce genre d'homme. Il est inaccessible pour une fille et étrangère comme moi. Pour lui, c'est les mannequins, les chanteuse, les femmes de grosses fortunes et etc.

   Comme on dit : la nuit porte conseil.

Bonsoir tout le monde, désolée pour le retard j'avais beaucoup de devoirs. J'espère que ça vous plaira ?!

L'institutrice (pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant