3•seul

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Salut bande de chasuble délavés!
   







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Encore...
Encore une fois, je pleurais.
C'est arrivé d'un coup comme une crise de panique.
Je me sentais si mal , trop de mauvaises raisons qui pouvaient expliquer mes pleurs se mélangeaient dans ma tête, je devait l'avouer je ne savait pas vraiment pourquoi je pleurais.

Enfaite je me sentais très triste, tellement que juste pleurer me faisait du bien je n'en était pas heureux, juste mieux ?

Trop de questions .
J'avais trop de questions en tête
Pourquoi j'étais si triste comme ça la nuit ?
Pourquoi est-ce que je me si sentais seul alors que j'étais vraiment bien entouré ?
Pourquoi est-ce que j'aurais eu honte d'en parler ?
Pourquoi est-ce que j'étais tombé amoureux ?
Pourquoi de lui ?
Pourquoi pas de quelqu'un du sexe opposé pour avoir rien qu'une mini chance ?
Pourquoi seul lui pouvait me rendre aussi heureux ? Pourquoi rien que de penser qu'il ne m'aime pas m'anéantissais ?
Pourquoi lui ? Pourquoi moi ?

Je voulais seulement pleurer rien d'autre !
Seul ça pouvait me soulager .
Je voulais que personne ne le sache, peut-être pour n'inquiéter personne, ou juste que ça  soit notre secret , à moi et la nuit, mais d'un côté je voulais en parler à quelqu'un...

Juste que je me sente écouté , que quelqu'un veuille bien me regarder droit dans les yeux pour me demander si ça va , mais un qui voulait dire « t'es sûr que tu vas bien, t'as l'air mal », mais j'étais si fragile que rien que ça aurait pût me faire fondre en larmes.

Je me sentais mitigé, bizarre, je le savait ce n'était pas une bonne idée de se retrouver seul avec moi même car sans le vouloir j'allais me sentir triste , tout c'est sentiment refoulés.

Je déteste l'amour parce que fait obligatoirement mal...
On s'attache toujours trop, c'est encore pire quand c'est à sens unique.
L'amour c'est dangereux peut importe comment tu te prépares à souffrir tu te sens forcément plus mal que se que tu pensais.

L'amour c'est comme le feu tu peux prendre des précautions , mais tu te brûleras forcément les ailes , tu sera anéanti tu souffriras , pleureras , c'est écrit tu ne peux changer les choses .

Il y a quelques temps j'ai fait une dépression , si forte que je voulais seulement ne plus penser , ne plus souffrir , ne plus vivre...
En la surmontant je m'étais promis : cacher le moins possible mes vrais sentiments , car sourire comme si tout allait pour le mieux me faisait encore plus souffrir, évidement, je ne pouvais pas laisser apparaître mes sentiment absolument tout le temps, vous savait , laisser ses sentiments à la vue de tous était impossible...

Après la dépression, c'est comme une maladie qui t'affaiblis. J'étais comment dire , beaucoup plus vulnérable , j'étais très facilement triste.
Mais comme je laissai beaucoup plus apparaître mes sentiment , c'est maintenant que les gens se souciaient plus de moi , pensant que j'allais mal  , c'est quand je vais bien que les gens on peur pour moi. Si ils savaient , si ils savaient toutes les idées noires qui me passaient par la tête , ils en auraient eu peur...

Mais une chose est sûre , je me haïssais pour tout , je n'aimais pas ma propre existence .

Mais parfois je songeais à une chose cette si belle métaphore qui me traversait l'esprit...
Dedans on pourrait voir la dépression comme une mer , froide , hostile , dangereuse , je l'appréciai énormément cette métaphore par la perception de cette chute dans le
Désespoir , comme ce noyé , au début tout le monde ce débat , certains plus que d'autres , mais au final ont fini tous par abandonner.
D'autres ont cette si belle chance , cette capacité à la surmonter , cette mer indomptable qui nous rend tous vulnérables , mais elle t'affaiblis forcément , tu finis tel un naufragé sur des rochers , plus chanceux que les autres. Comme moi.
Mais il faut garder en tête qu'un tel coup de chance ne se produit qu'une seule et unique fois , si sur ce rocher tu glisse , car tu es trop affaibli pas cette mer agitée , tu n'as rien d'autre à faire que te laisser aller , de toute manière tu es déjà trop blessé pour bouger , alors soit serin et abandonne la descente ne pouvait pas être plus simple à présent .

Je ne sais pas vraiment quand , mais tard dans la nuit , je m'endormis , je suis tombé de sommeil , ce n'était pas très agréable mais cela allait.

Le lendemain comme une habitude , un réflexe , mis ce sourire niais que mes proches appréciés , je ne le voulais pas mais ne le contrôlait pas , automatiquement je souriait pour ne pas inquièter mes proches...

Même si parfois , même souvent d'ailleurs je pense :

« Et si je mourais que se passerait-t-il ? »

Je ne sais pas...

Enfaite c'est pire que ça, je suis pas attaché à ma vie je peux très bien de me passer de mes proches et des babioles qui constitue ma vie.
C'est fou non ? J'me fiche totalement de tout ce qui m'entoure, genre là maintenant , tout de suite si je mourrai , je... je... cette pensée ne m'affecte pas vraiment honnête si je devait mourir maintenant, baaaah je dirais «  Katchan je t'aime , maman je t'aime , mes amis vous êtes des gens bien » je ne veux pas rajouter d'autres choses, ça ne serait pas nécessaire, le reste ne serait que barbant et niais.

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Voilà , voilà !
Si t'as pas compris cette fic est un endroit pour écrire quand j'ai des idées pas 100% joyeuse.

Au fait le prochain chapitre est joyeux.

« Je t'aime merde » //katsudeku//Où les histoires vivent. Découvrez maintenant