Chapitre 5

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Stiles et moi avons raccompagné Lydia chez elle.

Lydia : J'aurais pu rentrer seule.

Stiles : Je voulais être sûr que tu ne risquais rien.

Moi : Stiles, la police la raccompagnée.

Stiles : Je connais bien la police, ils ne sont pas aussi fiables qu'on le pense.

Lydia : Tu n'étais pas obligé de me suivre jusque dans ma chambre.

Stiles : Non je...oui bah j'ai pas de réponse à ça, je peux m'en aller.

Moi : Mais tu ne le ferras pas.

Lydia : Tu vas vraiment partir sans me demander ce que tu meurs d'envie de me demander ?

Stiles : Non pas du tout, je ne meurs pas d'envie de te poser une question, Stiles n'a pas de question, rien du tout. Pas vrai Tessa ?

Moi : Oh si, ça se voit.

Lydia : Je le vois à ton expression.

Stiles : J'ai peut-être une expression interrogative naturelle.

Moi : Alors, ton expression interrogative me tape sur les nerfs.

Stiles me regarde, déçu.

Lydia : Ma réponse est que non, j'ignore comment je suis tombée sur ce cadavre, j'ignorais où j'étais avant de sortir de la voiture.

Moi : C'étais pareil quand ça t'est arrivé la dernière fois.

Lydia : Je sais.

Elle regarde dans le vite est dit :

Lydia : L'oncle de Derek.

Stiles et moi : Peter !

*La mère de Scott appelle Stiles*

Stiles : Mélissa (la mère de Scott) veut nous voir.

Lydia : Allez-y, à demain Tessa.

Stiles : Et moi...

Moi : Stiles on n'a pas le temps !

Arriver à l'hôpital.

Mélissa : Salut.

Stiles et moi : Bonsoir.

Mélissa : C'est par là. Et si jamais, Stiles, tu racontes que je t'ai montré ça, je te jure que je te tuerai dans d'atroces souffrances.

Stiles : Pourquoi moi, et Tessa ?

Moi : Elle me fait confiance...

Mélissa : Exactement.

Stiles : Et pourquoi vous voulez nous montrer un cadavre qu'on a déjà vu ?

Mélissa : Parce que vous n'avez pas tout vu.

On rentre alors dans la morgue, Mélissa soulève un drap chirurgical posé sur le cadavre que Lydia a trouvé.

Mélissa : Regardez autour de son cou, c'est une trace de ligature, il a donc été étranglé avec une ficelle ou une corde...

Moi : Attends une seconde, pourquoi un loup-garou étranglerait sa victime ?

Stiles : Ouais, c'est pas le style des loups-garous.

Mélissa : C'est aussi ce que je pense. Et puis il y a ça aussi...

Elle tourne la tête de la personne sans vie et Stiles grimace.

Stiles : Qu'est-ce que c'est ? De la matière cérébrale ?

Moi : Oui, c'est ça...

Mélissa : Vous voyez l'entaille ? Il a été frappé assez fort derrière la tête pour en mourir. Il a aussi pu être tué par ce moyen, ce qui veut dire que quelqu'un tenait vraiment à ce que ce pauvre jeune meure.

Pourquoi, pourquoi toi Stiles StilinskiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant