Avant propos ? Préface ? En tout cas petit truc à dire

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(Non nécessaire à la lecture, vous avez le droit d'en avoir rien à faire, et dans ce cas on se retrouve au chapitre 0 ;) )
(Je tag @jaimeecrire23 pour un concours)

Bon ! Après une dépublication éclair, puis un retour aussi sec sur Wattpad, je me suis dit qu'il était temps de redonner à Afterlife un avant propos digne de ce nom. (Enfin, si on peut appeler ça un avant propos, en tout cas mon vocabulaire ne m'a offert aucun autre mot plus pertinent)

La raison donc de tous ces allers retours est que, après ma réécriture, j'ai contacté une maison d'édition, qui m'a apportée une réponse positive, mais que j'ai du temporairement refuser, pour des raisons d'emploi du temps personnel, que j'avais oublié de prendre en compte. Le délai étant d'un an minimum, je suis donc de retour ici, car j'ai beau être de plus en plus déçue de Wattpad (nan mais sérieux, les auteurs ont beau être des sucres entre eux, une pub par chapitre j'en peux plus, et puis l'absence de messagerie c'est vraiment pour souler tout le monde gratuitement) (j'en profite pour vous encourager à rejointre l'Atelier des Auteurs, ex scribay, j'aime davantage l'ambiance là bas !) c'est quand même ici que sont nés Sam et Almia. De plus, j'ai encore de la lecture ici, et des petits projets de concours (j'adore l'ambiance des concours Wattpad, premier degré, c'est trop mimi).

Maintenant que vous avez tout le pourquoi du comment, je me permets de faire un rappel. Encore une fois, je ne lui prête pas des pouvoirs démesurés, au même titre que je ne prête pas à mon livre le pouvoir qu'à eu Les Souffrances du jeune Werther. Néanmoins, ça ne me coûte rien, alors râlez donc, j'écrirai mon petit message quand même :

Le suicide est une mort que j'utilise beaucoup dans mes romans, pour la simple raison que "j'aime" l'écrire, si on peut le dire comme ça sans que ça sonne trop psychopathe.
Mais sachez avant tout que le suicide n'est pas une option. Je peux totalement comprendre que certain.e.s l'envisagent. Je n'ai pas votre vie et ne suis donc pas en mesure de juger votre choix ou quoi que ce soit d'autre de déplacé. (Je ne vous jugerai d'ailleurs jamais si vous faites appel à moi, peut importe ce qui vous arrive.) Il est par contre pour moi inconcevable que l'un.e d'entre vous passe à l'acte à cause de moi, de mes personnages qui choisissent cette option (qui n'en est, je le rappelle, pas une). Il est tout autant inconcevable que l'un.e d'entre vous le fasse tout simplement, indépendamment de mes histoires.

Si vous y pensez sérieusement, je vous en supplie, venez me parler. De vos problèmes ou du temps qu'il fait dehors pour oublier. Je veux et je dois faire tout ce qui est en mon pouvoir pour vous sortir de là. Sachez le, vous n'êtes pas seul.e.s. Je suis là. Les services d'écoute sont là. Des amis, de la famille, des adultes que vous côtoyez tous les jours (si vous êtes mineurs) ou des collègues (si vous êtes majeurs) peuvent parfois, même contre toute attente, être là. Le boulanger que vous croisez tous les matin, le médecin que vous allez voir pour une petite grippe sont là.
Mais ne lâchez surtout pas prise. Ne donnez pas la victoire à la.aux cause.s de votre malheur. Donnez nous une chance de vous sauver.

Je vous en supplie.
Courage.
Tenez bon.
Il y aura toujours des gens pour vous.
Un jour, le bonheur reviendra et vous serez heureux d'avoir résisté jusque là, en ressortant plus fort.e.

Ça va aller

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