De la beauté des femmes et leurs atours

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De la beauté des femmes et leurs atours

Ou

Récits d'un amateur de plaisir charnel dans les cités du Pont Occidental et du Sud des Mines

Par Casus « Allicans » Novae, 1177 EE


Ah, la femme ! Que de beauté, que de finesse, que de volupté. Il n'est de plus belle création qui put être façonnée par la grande créatrice. Etant ses égales, elles sont dotées de tous les plus beaux atours de la nature, de la possibilité de donner naissance à la nouvelle génération à celle de pouvoir satisfaire l'appétit sans commune mesure de l'homme viril. Ce dernier, malgré ses grands airs supérieurs et sa force dont il est si fier, n'a jamais rien été d'autre qu'un reproducteur interchangeable et un garde du corps pour celles contre lesquelles il est incapable de se défendre. La femme, en tout lieu et toute époque, a toujours su être plus maline que l'homme qui va mourir au nom de causes futiles. Quand les formes de l'homme sont dures, carrées, anguleuses, celle de la femme sont rondes, douces, maternelles. Elles sont proches de la terre nourricière, celle sans laquelle nulle être vivant ne resterait en vie, celle qui fut offerte par notre Grande Créatrice. Cette dernière également, quand temps il fut venu de choisir une compagne de couche, choisit une femme et non un homme, puisque nulle autre ne peut être digne de son toucher que l'une d'entre elles.

Je pourrai continuer tel éloge pendant des heures, tant les atours de la féminité me sont beaux et appréciables. Leur poitrine est d'une beauté parfaite, mathématique et divine, capable de marquer l'attirance et l'excitation, et de donner du plaisir autant qu'en recevoir. Qu'il me pèse de ne pouvoir vivre parmi les Amazones, femmes par excellence qui sont parvenues à ses séparer de la nécessité d'être défendues par les mâles ou, mieux encore, chez les Malawas à la peau d'ébène, dont les femmes se promènent, dit-on, seins nus, sans la moindre pudeur ni la moindre honte, car cette belle civilisation a depuis longtemps réalisé qu'il n'est de nulle utilité de camoufler telle œuvre. L'intimité de la femme est également un trésor de beauté, ciselée à même la chair, bien loin de la force brute du pénis de l'homme. La vulva offre un spectacle de couleur, de textures, et de types de plaisir à la femme. Et sa jouissance est sans commune mesure avec ce que tout homme ne pourra jamais vivre.

En un mot comme en mille : j'aime les femmes. J'ai eu des hommes, j'ai eu des femmes, mais les premiers n'ont jamais été capable d'offrir la volupté et le plaisir des secondes, et il m'arrive souvent de me demander si, sans la nécessité de la continuité de notre peuple et de leur lignée, ne passeraient-elles pas leur vie entière à profiter entre elles du plaisir qu'elles offrent. Dès ma plus tendre enfance, dans les faubourgs de Pont Majeur, le lent balancement de leurs cheveux dans le vent, les effluves de leur parfum et la perfection de leurs formes m'attiraient. Père avait une grande passion pour les esclaves, et nous en avions de tout âge et de toute race. C'est auprès de celles, légèrement plus âgées que moi, que je pus avoir mes premières expériences, et apprendre ainsi les manières de pouvoir retourner ce pouvoir qu'elles ont sur nous, et de les soumettre au plaisir, tout comme elles le font pour nous. La première, je m'en souviendrai toujours, était Ulda. Elle était Nordique, fière, mais bannie par ses pairs, elle n'avait pu que se vendre pour survivre. Mon père en était très fier, car les esclaves de cette race étaient particulièrement rares. Ulda était jeune, mais moins que moi. Elle devait avoir 15 ans quand, du haut de mes 10 étés à peine passés, je prenais plaisir à contempler les formes de ses cuisses musclées tandis qu'elle se baignait. Je savais qu'elle était particulièrement appréciée de Père, et, peut être dans un élan de compétitivité purement virile et stupide, je décidai de la faire mienne afin de la disputer au maître de maison. Je décidai qu'elle serait celle qui me baignerait désormais tous les jours et, peu à peu, je prenais en assurance face au corps pubère d'Ulda tandis que ses mains parcouraient ma peau humide. Moins d'un an plus tard, elle s'attardait désormais bien plus longuement sur une partie spécifique de ma morphologie, celle qui devenait chaque jour plus apte à appréhender mes désirs. Et, avant mes 12 ans, je l'avais possédée charnellement. Mais cette conquête ne me donne que le goût pour de plus hautes et plus difficiles cible. Ulda, malgré sa fierté, ne pouvait discuter les ordres du fils du maître, et, en conséquence, ne relevait pas d'un défi, puisqu'il me suffisait bien de lui dire de s'asseoir sur mon pénis d'enfant pour qu'elle le fasse sans broncher, certes, mais également sans plaisir.

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