Une abîme de domesticité s'abat sur leur réalité,
Tandis qu'une vague de remise en question consume les flots de leurs esprits tourmentés,
Ensemble, mains entrelacées;
Plongeons dans les ténèbres de nos pensées,
Une crétinerie inhérente est pourtant ici soulignée.
Comme nous, les chocs funèbres s'y sont retrouvés.Tout porter à bout de bras, et se détruire sans y prêter attention.
L'heure fuit sans l'ombre d'une considération.Songes, ne laissez plus place à cet enfer polaire.
Destinée! Fatalité! Vous reste-t-il quelque chose à consumer?
Vie ou simple fruit d'ailleurs,
Choix ou craintes forgées par ta peur?
Maître de tes désirs,
Comment t'a-t-il fait souffrir?Maintes questions,
Reines de cette nuit cruelle,
Je te conjure à l'état de flamme,
Étouffée dans une ivresse éternelle.
VOUS LISEZ
Le recueil des tourments
Poesia𝑈𝑛 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑'𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑓𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠.