Petit être ou simple amas cellulaire,
Je ne saurais dire comment je te considère.
Tu n'existeras peut-être pas
Mais je ressens encore ta présence au plus fond de moi.Le désir de te chérir, de te couver,
Comme on ne me le l'avait jamais fait,
Celui de t'aimer, de te protéger,
Dominait tout ce que je n'aurais pu imaginé.Cette décision égoïste
Nous détruisît ensemble,
Période obscure,
Souveraine des nuits d'ivresse dansantes.Aujourd'hui tu n'es plus.
Et pourtant,
Tu n'as jamais autant existé qu'à cet instant.Tandis que ce goût métallique
s'emparait de mes lèvres,
Ce touché instinctif
Commençait à quitter mes vers.Cette chaleur si familière à mon bas ventre,
Devint ainsi le signe de ta terrible absence.
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Le recueil des tourments
Poesia𝑈𝑛 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑'𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑓𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠.