Samedi 2 décembre, 7 h 02, bercé par les rayons du soleil qui éclaire la pièce, mes paupières se lève et doucement je me réveille. Encore perturber par les événements de la veille, mes yeux se porte sur la lettre. Je la prends et la range dans mon tiroir avec les autres, je prends soin de le fermé à clef, si quelqu'un tomber dessus je ne donnerai pas chère de ma peau. Depuis combien de temps est-ce que je reçois des lettres maintenant ? Trop longtemps pour m'en souvenir précisément, j'ai d'abord cru à une blague, mais me suit très rapidement aperçue de la gravité de la situation. Je sais ce que vous allez me dire. Pourquoi ne pas en parler ou même simplement prévenir la police, j'ai déjà essayé et je les amèrement regretter... A chaque fois que je tente d'arrêter ce cauchemar quelqu'un d'autre que moi finit par payer les conséquences.
J'ai déjà tant perdu...
Je suis terrifiée, j'ai déménagé, changé d'identité et mon Lutin ma retrouver. Lutin, c'est la seule piste que j'ai sur la personne qui me harcèle, la seule qu'elle veuille bien me donner.
3 mois 11 jours et 7 h 00. C'est exactement le temps exact qu'il lui a fallu pour me retrouver, après c'est 3 mois dans une première lettre mon Lutin me l'annoncé avec fierté.
Aujourd'hui, je vis seule mais ça n'a pas toujours était le cas, avant, je vivais avec mon meilleur ami, mais après sa mort ou plutôt devrais-je dire son meurtre, je ni arriver plus, c'était devenue trop dur. Je devais quitter la ville au plus vite, non par choix, mais par nécessiter pour que je survive... NON ! C'était nécessaire pour que je vive ! Certes, je ne posséder par l'essence d'une preuve et pourtant quelque chose au fond de moi m'en donner la certitude, c'était lui, il l'avait tué. La police argumentée sur le fait que sa mort n'était qu'un accident, tout le monde me prenais pour une folle, l'enquête na durer qu'une semaine, mais je suis sûr qu'il la tuer et déguiser sa mort en suicide, il avait découvert mon secret... C'est pour ça qu'il a tué, c'était la seule explication possible. Alors, j'ai parlé de cette certitude autour de moi, mais personne ne m'a pris au sérieux, personne ne m'a soutenue, tous mon tournée le dos, mais comment avaient-ils pu ne serrais-ce qu'imaginé qu'il avait pu se suicider. Lui qui était si joviale, si lumineux, si gentil, si doux, si bon, si beau, si parfais...
Il venait d'obtenir son Masters en psychologie après 6 années d'études acharnées. Il était si heureux de pouvoir rendre fière ses parents et de pouvoir enfin les remboursés puisqu'il l'avait soutenue financièrement pendent toutes ces années. Oui, j'en suis persuadés il n'avait aucune raison de se suicider.
J'ai failli être envoyer dans un asile psychiatrique par mes propres parents, alors, j'ai fait la seule chose que je pouvais faire, fuir. C'était le choc émotionnel de trop de savoir que même ma famille pensait que j'étais folle. Je ne peux pas leurs en vouloir, je n'avais aucune preuve. Les lettres avaient disparue au moment où j'en avais le plus besoin encore un de ces tours. C'est pour cela qu'aujourd'hui, je les range minutieusement, afin de pouvoir avoir une preuve que je ne suis pas folle et que mon harceleur existe bel et bien. Tout est réelle et non dans ma tête.
Cette fois ci la lettre était attachée par la ficelle d'un ballon rouge ce qui l'empêcher de s'envoler. Je ne comprends pas. Est-ce un cadeau ? Je n'ai aucune indication concernant ce que je dois faire avec ce ballon.
Je suis comme une rose, prisonnière de mes épines, je ne peux me déplacer à ma guise, je ne suis en sécurité nulle part. Pour chaque être qui me rencontre, je suis en danger chaque seconde. Je ne sais que faire, je suis perdu, comment puis-je échapper au montre qui me poursuit ? Je suis à la merci d'un être sans scrupule qui me manipule à sa guise, il fait de moi ce que bon lui semble et si je n'obéis pas, il me punira, de la façon la plus exposante, la plus blessante et traumatisante qui soit.
— Moi
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Les 24 cadeaux de Noël (nouvelle)
ContoEt si je vous dis que nous sommes tous constamment observer ? Vous ne me croyez pas, pourtant c'est bien le cas. Chaque jour, nous croisons environs plus de 1000 visages, m...